En plus d'ouvrir de nouveaux bureaux et d'embaucher du personnel, Canon a présenté, pour fêter ses 40 ans de présence au Québec, un tout nouveau service qui se veut résolument tourné vers le consommateur.
Il s'agit d'un tout nouveau service à la clientèle qui permettra à Canon d'établir une relation plus proche entre la compagnie et le client. Le possesseur d'un appareil Canon peut donc désormais se rendre dans ce centre, et son produit lui sera expliqué par des techniciens de la marque. Fini donc de se retrouver avec une caméra, dont on ne sait pas toujours exploiter toutes les capacités et subtilités. Bref, votre appareil n'aura plus aucun secrêt pour vous. Bien sûr, ce service est entièrement gratuit et il se situe derrière le nouveau siège social de Canon au 8801 route Transcanadienne, à Saint Laurent sur l'île de Montréal.
Canon a un long passé avec le Québec, c'est à Montréal qu'elle a décidé de s'installer, 6 ans avant de se multiplier dans le reste du Canada. L'entreprise a donc voulu fêter l'évènement en ouvrant deux nouveaux bureaux, qui permettront la création d'une trentaine d'emplois, en plus des 300 autres à venir dans les prochains mois. L'ouverture d'un centre de recherche et développement n'est pas encore prévue, mais selon les dirigeants, Canon veut « saisir toutes les opportunités ». La compagnie risque donc de réserver quelques surprises dans ce domaine au cours de 2007, comme son arrivée l'an prochain dans le monde des écrans avec sa toute nouvelle technologie SDI, qui aurait la qualité d'une écran à tube mais pourrait afficher la haute définition. Une telle qualité, si elle existe, créerait certains remous chez la concurrence. Pour l'instant, aucun des écrans Plasma et ACL actuel ne possèdent une telle qualité, mais attendons de voir le produit l'an prochain pour pouvoir juger.
Canon continue donc la course à la qualité dans laquelle elle s'est engagée, ainsi que son renforcement au Québec. De plus, il serait bienvenue que la concurrence s'inspire de ce nouveau support à la clientèle pour proposer un service semblable, car nombre d'appareils technologiques sont exploités au minimum de leurs capacités par des consommateurs, souvent perdus devant les myriades de fonctions disponibles.