Résultats De La Banque HSBC Canada Pour L'exercice Et Le Quatrième Trimestre De 2021

Banque HSBC Canada

Commentaire de Linda Seymour, présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada, au sujet des résultats :
« La performance financière en 2021 a été vigoureuse, poursuivant la dynamique observée depuis le milieu de 2020 et créant une base solide pour 2022. La collaboration entre les secteurs d'activité et au?delà des frontières a donné lieu à une augmentation importante des revenus et du bénéfice avant la charge d'impôt, du fait de la progression des prêts dans les secteurs Services aux entreprises et Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. Les soldes des dépôts se sont accrus dans les Services aux entreprises, les revenus des commissions tirées des services-conseils et du marché des capitaux ont affiché une hausse dans les Services bancaires internationaux¹, et les fonds d'investissement sous gestion et le solde de la relation globale des clients² se sont accrus au sein de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers.

Ces résultats représentent également une augmentation par rapport à nos résultats de 2019. Ils sont d'autant plus remarquables qu'ils ont été obtenus à l'aube d'une troisième année marquée par une pandémie mondiale. Alors que nous cherchons tous à sortir de cette crise sanitaire, nous continuons à travailler en étroite collaboration avec nos clients de partout au pays et à apprendre de leur incroyable résilience. »

Faits saillants³

Comparaison de la performance financière de 2021 avec celle de 2020

• Le bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat s'est établi à 952 M$, ayant bondi de 548 M$, ou 136 %, grâce à la diminution des pertes de crédit attendues et à la hausse du total du résultat d'exploitation.
• Tous nos secteurs d'activité ont été rentables en 2021 et le bénéfice avant impôt de trois d'entre eux s'est accru, et ce, tant pour le trimestre que pour l'exercice.
• Le total du résultat d'exploitation a été de 2,2 G$, ayant monté de 9,4 %, à la faveur de l'amélioration des marges d'intérêts nettes et de l'intensification des activités de prêt et de celles des clients, ce qui a été atténué par le recul des produits de négociation.
• La variation des pertes de crédit attendues (« PCA ») a consisté en une reprise de 45 M$, comparativement à une charge de 327 M$ l'exercice précédent, ce qui rend compte de l'amélioration de la conjoncture économique par rapport à 2020.
• Le total des charges d'exploitation a augmenté de 15 M$, ou 1,2 %, car nous avons continué d'investir afin de faire croître nos secteurs d'activité et d'instaurer un modèle de travail hybride, tout en gérant prudemment nos coûts.
• Le total de l'actif a été de 119,9 G$, ce qui traduit une hausse de 2,5 G$, ou 2,1 %.
• Le ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 1⁴ s'est situé à 14,0 %, soit une hausse de 30 points de base par rapport à celui de 13,7 % en 2020.
• Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l'actionnaire ordinaire⁵ a atteint 11,7 %, en hausse de 700 points de base par rapport aux 4,7 % enregistrés en 2020.

Comparaison de la performance financière du quatrième trimestre de 2021 avec celle du quatrième trimestre de 2020

• Le bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat s'est établi à 227 M$, soit une augmentation de 67 M$, ou 42 %, ce qui rend compte de l'essor du total du résultat d'exploitation.
• Le total du résultat d'exploitation s'est chiffré à 579 M$, affichant une hausse de 15 %, laquelle a découlé de l'amélioration des marges d'intérêts nettes, de l'intensification des activités de prêt et de celles des clients ainsi que de l'accroissement des fonds d'investissement sous gestion.
• La variation des PCA a consisté en une charge de 8 M$, ce qui rend compte essentiellement d'une perte de valeur liée à un prêt productif dans le secteur de l'aviation, comparativement à une reprise de 1 M$ un an plus tôt.

1. Avec prise d'effet au quatrième trimestre de 2021, nous avons scindé le secteur d'activité auparavant appelé « Services bancaires internationaux et marchés » en deux secteurs, soit « Services bancaires internationaux » et « Marchés et Services liés aux valeurs mobilières », afin de refléter nos nouveaux secteurs d'activité. Toutes les données comparatives ont été ajustées pour être conformes à la présentation adoptée pour l'exercice à l'étude.
2. Le solde de la relation globale des clients comprend les soldes des prêts, des dépôts et des comptes de gestion de patrimoine.
3. Comparaison du trimestre et de l'exercice clos le 31 décembre 2021 et des périodes correspondantes de l'exercice précédent (sauf indication contraire). Les abréviations « M$ » et « G$ » signifient millions et milliards de dollars canadiens, respectivement.
4. Les ratios du capital et les actifs pondérés en fonction des risques sont calculés au moyen de la ligne directrice sur les normes de fonds propres du Bureau du surintendant des institutions financières (« BSIF ») et le ratio de levier est calculé conformément à la ligne directrice sur les exigences de levier de ce même organisme. Ces lignes directrices sont fondées sur celles de Bâle III.
5. Pour évaluer sa performance, la banque utilise des mesures financières supplémentaires qui sont établies à partir de chiffres calculés selon les Normes internationales d'information financière (« IFRS »). Pour plus d'informations au sujet de ces mesures financières, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Utilisation de mesures financières supplémentaires » du présent document.

Analyse des résultats financiers consolidés du trimestre et de l'exercice clos le 31 décembre 2021¹

Les produits d'intérêts nets se sont chiffrés à 323 M$ pour le trimestre, ce qui représente une hausse de 48 M$, ou 17 %, en regard de la période correspondante de l'exercice précédent, grâce à une variation de la composition des passifs, les titres de créance ayant diminué en faveur des dépôts des clients, et à une augmentation des prêts. Les produits d'intérêts nets de l'exercice ont atteint 1 226 M$, soit une croissance de 140 M$, ou 13 %, en raison de l'amélioration des marges, de la réduction des volumes des passifs portant intérêt et de la progression des prêts. Ces facteurs ont été annulés en partie par une diminution des placements financiers générant des rendements moins élevés et par une compression des marges au premier trimestre de 2021 par rapport à l'exercice précédent, ce qui a été causé par les réductions de taux pratiquées par les banques centrales en 2020.

Les produits de commissions nets du trimestre ont totalisé 205 M$, pour une hausse de 20 M$, ou 11 %, par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent, grâce à une augmentation des fonds d'investissement sous gestion, à une intensification des activités au chapitre des cartes et de la progression des commissions générées par les services-conseils. À ces facteurs se sont ajoutées des activités plus soutenues sur le plan des services à l'égard des comptes et des services de financement du commerce international. Ces facteurs ont été annulés en partie par la hausse des charges de commissions connexes.

Les produits de commissions nets de l'exercice ont atteint 794 M$, ayant augmenté de 81 M$, ou 11 %, ce qui s'explique par la hausse des fonds d'investissement sous gestion et des commissions tirées des facilités de crédit et des services-conseils ainsi que par l'intensification des activités au chapitre des cartes. En outre, des activités plus intenses au titre des services à l'égard des comptes, du courtage en ligne et du financement du commerce international ont favorisé l'augmentation précitée. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par l'accroissement des charges de commissions connexes.

Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction du trimestre se sont chiffrés à 28 M$, s'étant affaiblis de 2 M$, ou 6,7 %, en regard de ce qu'ils étaient au trimestre correspondant de l'exercice précédent, ce qui a découlé principalement des variations défavorables des ajustements de crédit et des ajustements de la juste valeur liés au financement ainsi que du repli des produits d'intérêts nets sur les activités de négociation en raison de la faiblesse des taux d'intérêt. Ces facteurs ont été atténués par l'intensification des activités de négociation. Pour l'exercice, les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction ont totalisé 112 M$, ce qui représente un recul de 20 M$, ou 15 %, la faiblesse des taux d'intérêt ayant nui aux produits d'intérêts nets sur les activités de négociation et les activités de la sous-division chargée des taux ayant ralenti. Ces facteurs ont été neutralisés en partie par les hausses attribuables à la moins grande volatilité des marchés et au resserrement des écarts de crédit.

Les autres éléments de produits du trimestre se sont établis à 23 M$, s'étant raffermis de 9 M$, ou 64 %, par rapport à l'exercice précédent, grâce essentiellement à l'augmentation des profits liés aux placements financiers par suite du rééquilibrage du portefeuille d'actifs liquides de la banque. Pour l'exercice, les autres éléments de produits ont été de 83 M$, ce qui représente un recul de 10 M$, ou 11 %, par suite d'une baisse des profits réalisés à la cession de placements financiers par suite du rééquilibrage du portefeuille d'actifs liquides de la banque et d'un profit lié à l'extinction de la dette associée aux débentures subordonnées qui avaient été rachetées réalisé au cours de l'exercice précédent.

La variation des PCA pour le trimestre a consisté en une charge de 8 M$, comparativement à une reprise de 1 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent. La charge constatée au trimestre à l'étude vient essentiellement d'une perte de valeur liée à un prêt productif dans le secteur de l'aviation, ce qui a été annulé en partie par des reprises liées aux prêts non productifs dans le secteur de l'énergie. Au quatrième trimestre de 2020, la reprise avait résulté essentiellement de l'amélioration, prévue à ce moment, des variables macroéconomiques prospectives à l'égard des prêts productifs, ce qui avait été atténué par des pertes de valeur liées à des prêts non productifs dans le secteur de l'énergie et dans divers autres secteurs.

Pour l'exercice, la variation des PCA a consisté en une reprise de 45 M$, contre une charge de 327 M$ en 2020. Cette reprise a résulté de l'amélioration des variables macroéconomiques prospectives à l'égard des prêts productifs, ce qui a été neutralisé en partie par des pertes de valeur liées à un prêt productif dans le secteur de l'aviation et à deux prêts non productifs dans le secteur de l'énergie. La charge de l'exercice précédent avait découlé de l'accroissement des provisions constituées à l'égard des prêts productifs en raison des conséquences de la pandémie ainsi que de l'inscription de pertes de valeur liées à des prêts non productifs dans le secteur de l'énergie dans la première moitié de 2020.

Le total des charges d'exploitation du trimestre s'est établi à 344 M$, ayant légèrement diminué, à savoir de 1 M$, ou 0,3 %, sur un an, et ce, en raison surtout du moment où certains coûts liés à la rémunération et aux avantages du personnel ont été engagés. Ce facteur a été contrebalancé en partie par une hausse des coûts associés aux investissements stratégiques que nous avons réalisés afin de faire croître nos secteurs d'activité, de simplifier nos processus et d'offrir des services numériques qui comblent les besoins de nos clients. Pour l'exercice, le total des charges d'exploitation s'est chiffré à 1 308 M$, ce qui représente une hausse de 15 M$, ou 1,2 %, du fait principalement des coûts associés à la réorganisation de l'empreinte de notre parc immobilier en prévision de l'adoption d'un modèle de travail hybride, de la perte de valeur de certains actifs logiciels et des coûts liés à nos investissements stratégiques. Ces facteurs ont été compensés en partie par une diminution des coûts discrétionnaires.

En ce qui concerne la charge d'impôt sur le résultat, le taux d'imposition effectif pour le trimestre a été de 17,6 %, comparativement à 21,9 % pour la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui est imputable à une diminution de la charge d'impôt. Le taux d'imposition effectif pour l'exercice a été de 24,7 %, contre 23,7 % pour 2020, ce qui est aussi imputable à une diminution de la charge d'impôt, mais aussi à l'augmentation du bénéfice avant impôt.

1. Comparaison du trimestre et de l'exercice clos le 31 décembre 2021 et des périodes correspondantes de 2020 (sauf indication contraire).

Évolution de la situation financière

Actif

Le total de l'actif s'élevait à 119,9 G$ au 31 décembre 2021, en hausse de 2,5 G$, ou 2,1 %, par rapport à ce qu'il était au 31 décembre 2020. La composition de notre actif a changé en réponse aux besoins de nos clients pour ce qui est des prêts hypothécaires résidentiels et des prêts aux entreprises, et les prêts et avances se sont accrus de 8,1 G$. Les hausses de 3,1 G$ des prises en pension et de 1,2 G$ des volumes d'actifs détenus à des fins de transaction ont également favorisé l'accroissement du total de l'actif. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par des réductions de 4,9 G$ des placements financiers et de 1,8 G$ de la trésorerie et des soldes détenus dans les banques centrales, car nous avons favorisé la croissance d'autres catégories d'actifs et repositionné les besoins en liquidités de la banque. Les dérivés se sont repliés de 2,7 G$ à cause de variations de l'évaluation à la valeur de marché imputables aux taux d'intérêt et de change.

Passif

Le total du passif s'établissait à 113,0 G$ au 31 décembre 2021, pour une hausse de 2,5 G$, ou 2,3 %, par rapport à celui au 31 décembre 2020, ce qui a découlé surtout d'augmentations de 4,8 G$ des mises en pension et de 1,8 G$ des volumes des passifs détenus à des fins de transaction, ce qui correspond à la variation enregistrée dans les catégories d'actifs respectives. Les comptes des clients se sont accrus de 1,7 G$ grâce à la croissance des dépôts des secteurs Services aux entreprises et Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. Ces hausses ont été annulées en partie par une diminution de 3 G$ des titres de créance émis à la suite d'une diminution du financement à terme et de gros. Les dérivés ont baissé de 2,7 G$, ce qui correspond à la variation enregistrée à ce chapitre dans l'actif.

Capitaux propres

Le total des capitaux propres s'est établi à 6,9 G$ au 31 décembre 2021, soit le même montant qu'au 31 décembre 2020. La hausse de 0,7 G$ du bénéfice après impôt qui a été généré durant l'exercice a été neutralisée en partie par les dividendes sur les actions ordinaires de 0,4 G$ qui ont été déclarés au cours de la période considérée ainsi que par une perte de 0,2 G$ qui a été constatée au titre des instruments d'emprunt à la juste valeur par le biais des autres éléments du résultat global et des couvertures des flux de trésorerie.

Dividendes

Dividendes déclarés en 2021

Au cours de l'exercice, la banque a déclaré et versé des dividendes d'un montant de 45 M$ sur ses actions privilégiées de catégorie 1, toutes séries confondues, ainsi que des dividendes d'un montant de 435 M$ sur ses actions ordinaires.

Dividendes déclarés en 2022

Le 17 février 2022, la banque a déclaré, pour le premier trimestre de 2022, des dividendes trimestriels réguliers sur toutes ses séries d'actions privilégiées de catégorie 1, dividendes qui seront versés, conformément à leurs modalités et de la façon habituelle, le 31 mars 2022 ou le premier jour ouvrable suivant, à l'actionnaire inscrit le 15 mars 2022.

Le 17 février 2022, la banque a également déclaré, pour l'exercice clos le 31 décembre 2021, un dividende final de 200 M$ sur ses actions ordinaires, dividende qui sera versé au plus tard le 30 mars 2022, à l'actionnaire inscrit le 17 février 2022.

Puisque les dividendes trimestriels sur les actions privilégiées pour le premier trimestre de 2022 et le dividende final sur les actions ordinaires pour 2021 ont été déclarés après le 31 décembre 2021, leur montant n'a pas été inscrit au passif du bilan de la banque.

Résultats des secteurs d'activité pour l'exercice clos le 31 décembre 2021¹

Services aux entreprises (« SE »)

Le total du résultat d'exploitation s'est fixé à 280 M$ pour le trimestre, s'étant accru de 49 M$, ou 21 %, sur un an et, pour l'exercice, il a été de 1 041 M$, en hausse de 92 M$, ou 9,7 %. Les activités des SE se sont grandement intensifiées en 2021, les prêts et acceptations ayant progressé de 3,5 G$ et les soldes des dépôts ayant monté de 2,1 G$. Les produits d'intérêts nets se sont améliorés par suite de l'accroissement des volumes et des marges sur les prêts, ce qui a été contrebalancé par le repli de la marge sur les dépôts au premier trimestre 2021 par rapport à l'exercice précédent, du fait des réductions de taux pratiquées par les banques centrales en 2020. Les produits autres que d'intérêts ont connu eux aussi une hausse grâce à l'augmentation des volumes des acceptations bancaires et à l'intensification des activités des clients en ce qui concerne le change, les paiements à l'échelle internationale et nationale et les cartes de crédit.

En 2021, nous avons continué d'enrichir notre gamme d'instruments financiers écologiques, lançant notamment cinq nouveaux produits de financement du commerce durable destinés aux clients des SE : dépôts verts, financement du commerce durable, facilités de crédit renouvelables vertes, prêts liés au développement durable et financement d'équipement vert. Concurremment, nous avons poursuivi nos investissements dans l'amélioration de l'expérience numérique de notre clientèle tout en veillant à la sécurité de nos activités et au maintien de notre résilience, et nous avons réalisé nos objectifs en matière d'optimisation et d'amélioration de la productivité et de l'efficience. Nos investissements appuient les efforts que nous déployons pour faire passer notre clientèle en premier et ont fait en sorte que le Service mondial de gestion des liquidités et de la trésorerie a été voté le meilleur gestionnaire de trésorerie régional pour les grandes sociétés en Amérique du Nord dans le cadre du sondage sur la gestion de la trésorerie qu'a mené le magazine Euromoney. En outre, le Commerce international et financement des comptes clients a été désigné comme étant la meilleure banque pour le financement du commerce international et a décroché le premier rang pour ce qui est de la qualité du service au Canada par suite du sondage sur le financement du commerce international réalisé par ce même magazine.

Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d'impôt s'est élevé à 170 M$, s'étant amélioré de 34 M$, ou 25 %, en regard d'il y a un an, ce qui s'explique essentiellement par la progression du résultat d'exploitation. Ce facteur a été atténué par l'augmentation des pertes de crédit attendues du fait que l'amélioration des scénarios macroéconomiques prospectifs un an plus tôt s'était soldée par une reprise. Le bénéfice avant la charge d'impôt de l'exercice s'est établi à 681 M$, ayant bondi de 384 M$, ou 129 %. Ce résultat provient surtout d'une forte baisse des pertes de crédit attendues, attribuable avant tout à l'amélioration des scénarios macroéconomiques prospectifs, l'économie ayant poursuivi son redressement après les contrecoups de la pandémie, ainsi qu'à la progression du résultat d'exploitation et au recul des charges d'exploitation.

Services bancaires internationaux (« SBI »)²

Le total du résultat d'exploitation du trimestre s'est chiffré à 53 M$, ayant légèrement fléchi, soit de 1 M$, ou 1,9 %, sur un an, ce qui découle principalement de la hausse des commissions sur les prêts au quatrième trimestre de 2020, ce qui ne s'est pas reproduit, et du recul des produits d'intérêts nets par suite de la diminution des soldes en 2021. Ces facteurs ont été atténués par la progression des produits de commissions générés par les activités sur les marchés de capitaux. Le total du résultat d'exploitation de l'exercice a été de 220 M$, étant demeuré inchangé sur un an, sous l'effet de la hausse des produits de commissions générés par les services-conseils et les activités sur les marchés des capitaux, laquelle a été neutralisée par le recul des volumes des transactions bancaires ainsi que par le repli des marges sur les dépôts au premier trimestre de 2021 par suite des réductions de taux pratiquées par les banques centrales en 2020.

Les SBI conservent leur stratégie qui est bien établie, à savoir proposer des solutions bancaires de gros sur mesure en tirant parti du vaste réseau de distribution de la HSBC pour offrir des produits et solutions qui répondent aux besoins de nos clients internationaux.

Comme l'économie canadienne est toujours en voie de se relever de la pandémie, nous continuons de travailler en étroite collaboration avec nos clients afin de comprendre les défis uniques auxquels ils sont confrontés et de les seconder dans leurs efforts pour renouer avec la croissance et dans leurs plans de transition vers une économie carboneutre.

Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d'impôt s'est établi à 34 M$, ce qui traduit un léger recul de 1 M$, ou 2,9 %, par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent. Pour l'exercice, le bénéfice avant la charge d'impôt a totalisé 143 M$, pour une amélioration de 56 M$, ou 64 %, laquelle a résulté principalement d'une variation favorable des pertes de crédit attendues sur les prêts productifs du fait de l'amélioration des données macroéconomiques prospectives, de la diminution des charges d'exploitation attribuable à une gestion prudente des coûts et de la hausse du total du résultat d'exploitation.

Marchés et Services liés aux valeurs mobilières (« MSVM »)²

Le total du résultat d'exploitation du trimestre s'est fixé à 22 M$, en hausse de 3 M$, ou 16 %, sur un an. Cette hausse a découlé principalement de l'amélioration des produits d'intérêts nets et de l'intensification des activités de négociation. Pour l'exercice, le total du résultat d'exploitation a été de 90 M$, ayant fléchi de 12 M$, ou 12 %, en regard de celui de l'exercice précédent. Les produits enregistrés par l'unité Marchés ont été inférieurs à ceux constatés un an auparavant ce qui a découlé du recul des ventes et des volumes de négociation associés aux activités concernant les produits de change, les taux et le crédit. Ce facteur a été neutralisé en partie par les variations favorables de certains écarts de crédit, les marchés financiers ayant continué de se remettre de l'incidence initiale de la COVID-19 l'exercice précédent.

Les MSVM conservent leur stratégie, laquelle est bien établie, à savoir proposer des solutions sur mesure en tirant parti du vaste réseau de distribution de la HSBC pour offrir des produits et solutions qui répondent aux besoins de nos clients internationaux.

Comme l'économie canadienne est toujours en voie de se relever de la pandémie, nous continuons de travailler en étroite collaboration avec nos clients afin de comprendre les défis uniques auxquels ils sont confrontés et de les seconder dans leurs efforts pour renouer avec la croissance et dans leurs plans de transition vers une économie carboneutre.

Le bénéfice avant la charge d'impôt du trimestre s'est établi à 7 M$, n'ayant pas varié sur un an, ce qui s'explique par la hausse du résultat d'exploitation, contrebalancée par la hausse des charges d'exploitation. Pour l'exercice, le bénéfice avant la charge d'impôt a totalisé 38 M$, accusant un repli de 10 M$, ou 21 %, en raison principalement du recul du résultat d'exploitation, qui a été compensé en partie par la baisse des charges d'exploitation qu'a permise une gestion prudente des coûts.

Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »)

Le total du résultat d'exploitation a été de 215 M$ pour le trimestre, ce qui représente une augmentation de 13 M$, ou 6,4 %, en regard du trimestre correspondant de 2020 et, pour l'exercice, il a été de 843 M$, ce qui rend compte d'une hausse de 66 M$, ou 8,5 %. La hausse a découlé d'une progression sans précédent³ des volumes associés au solde de la relation globale des clients⁴, du niveau record³ des activités des clients du courtage en ligne et d'un changement favorable dans la composition des produits, ce qui a été annulé en partie par la contraction des marges sur les dépôts par suite des réductions de taux pratiquées par les banques centrales en 2020. Les résultats de l'exercice précédent tenaient également compte d'une hausse des coûts associée au maintien de liquidités plus importantes. La croissance du solde de la relation globale des clients⁴ a résulté du niveau record³ des ventes nettes au chapitre des fonds d'investissement sous gestion et des prêts garantis par des biens immobiliers. De plus, l'appréciation des marchés s'est traduite par une hausse des fonds d'investissement sous gestion.

Nous avons élargi l'ensemble de notre clientèle et celle à l'échelle internationale, car nous investissons sans discontinuer dans nos canaux de distribution ainsi que dans des produits compétitifs sur le marché. Au cours de l'exercice, nous avons encore fait en sorte qu'il soit plus facile pour nos clients d'effectuer leurs transactions bancaires et nous avons rehaussé l'expérience client grâce à des perfectionnements d'ordre numérique, tels une application mobile de clavardage et un processus numérique d'ouverture de comptes destiné à nos clients internationaux qui n'ont pas encore immigré au Canada, et nous avons donné à nos clients la possibilité de récupérer, par voie numérique, d'autres documents, au moment qui leur convient. Le fait d'avoir de nouveau axé nos efforts sur les besoins des clients et sur les perfectionnements numériques nous a aidés à remporter plusieurs prix en 2021, dont celui de l'expérience client exceptionnelle en gestion de patrimoine dans le cadre des Global Private Banking Innovation Awards et ceux de la meilleure banque de détail pour ce qui est de la convivialité de l'expérience bancaire et de la meilleure technologie mise en oeuvre par une banque de détail, ces derniers nous ayant été décernés lors des Global Retail Banking Innovation Awards.

Exclusion faite de 2012, où les résultats tenaient compte d'un profit non récurrent, les produits et le bénéfice avant la charge d'impôt de l'exercice ont atteint un nouveau sommet³. Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d'impôt s'est élevé à 33 M$, pour une hausse de 18 M$, ou 120 %, sur un an et, pour l'exercice, il a été de 176 M$, ayant bondi de 106 M$, ou 151 %, ce qui est imputable à l'amélioration du résultat d'exploitation dont il est fait mention ci-dessus et à une diminution des pertes de crédit attendues. Ces facteurs ont été atténués par une hausse des charges d'exploitation.

Centre général⁵

La perte avant la charge d'impôt a été de 17 M$ pour le trimestre, ce qui représente une amélioration de 16 M$ sur un an, et pour l'exercice, elle s'est chiffrée à 86 M$, ce qui rend compte d'un progression de 12 M$, laquelle a résulté surtout d'une hausse des produits d'intérêts nets, les coûts associés aux liquidités ayant diminué. L'amélioration enregistrée pour l'exercice a été atténuée par une augmentation des charges d'exploitation provenant essentiellement du coût des initiatives visant à favoriser la croissance à venir et la transition vers un modèle de travail hybride, ainsi que de la diminution des produits autres que d'intérêts étant donné qu'un profit avait été enregistré un an plus tôt en lien avec l'extinction de la dette associée aux débentures subordonnées qui avaient été rachetées.

1. Comparaison de l'exercice clos le 31 décembre 2021 et de l'exercice précédent (sauf indication contraire).
2. Avec prise d'effet au quatrième trimestre de 2021, nous avons scindé le secteur d'activité auparavant appelé « Services bancaires internationaux et marchés » en deux secteurs, soit « Services bancaires internationaux » et « Marchés et Services liés aux valeurs mobilières », afin de refléter nos nouveaux secteurs d'activité. Toutes les données comparatives ont été ajustées pour être conformes à la présentation adoptée pour l'exercice à l'étude.
3. Record annuel depuis la formation de GPSBP (antérieurement SBDGP) en tant que secteur d'activité mondial distinct en 2011.
4. Le solde de la relation globale des clients comprend les soldes des prêts, des dépôts et des comptes de gestion de patrimoine.
5. Le centre général n'est pas un secteur opérationnel de la banque. Les nombres indiqués ci-dessus présentent un rapprochement des résultats des secteurs opérationnels et de ceux de l'entité.

Pour évaluer sa performance, la banque utilise des mesures financières supplémentaires qui sont établies à partir de chiffres calculés selon les IFRS. Ce qui suit constitue un glossaire des mesures pertinentes qui sont employées tout au long de ce document, mais qui ne figurent pas dans les états financiers consolidés.

Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l'actionnaire ordinaire correspond au bénéfice annualisé attribuable à l'actionnaire ordinaire de la période divisé par la moyenne¹ des capitaux propres ordinaires.

Le rendement de la moyenne des actifs pondérés en fonction des risques correspond au bénéfice avant la charge d'impôt sur le résultat divisé par la moyenne¹ des actifs pondérés en fonction des risques.

Le ratio d'efficience correspond au total des charges d'exploitation exprimé en pourcentage du total du résultat d'exploitation.

Le ratio du levier d'exploitation s'entend de l'écart entre le taux de variation des produits et celui des charges d'exploitation.

La marge d'intérêts nette désigne les produits d'intérêts nets exprimés en pourcentage annualisé de la moyenne¹ des actifs productifs d'intérêts.

La variation des pertes de crédit attendues en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations s'entend de la variation annualisée des pertes de crédit attendues² exprimée en pourcentage de la moyenne¹ du montant brut des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d'acceptations.

La variation des pertes de crédit attendues sur les prêts et avances et les acceptations de stade 3 en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations s'entend de la variation annualisée des pertes de crédit attendues² sur les actifs de stade 3 exprimée en pourcentage de la moyenne¹ du montant brut des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d'acceptations.

Le total de la correction de valeur pour pertes de crédit attendues de stade 3 en pourcentage du montant brut des prêts et avances et des acceptations de stade 3 s'entend du total de la correction de valeur pour pertes de crédit attendues² sur les prêts et avances à des clients et les acceptations de stade 3 exprimé en pourcentage des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d'acceptations de stade 3.

Les sorties du bilan nettes en pourcentage de la moyenne des prêts et avances à des clients et des acceptations correspondent aux sorties du bilan nettes annualisées exprimées en pourcentage de la moyenne¹ du montant net des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d'acceptations.

1. La marge d'intérêts nette est calculée à l'aide des soldes moyens quotidiens. Toutes les autres mesures financières mettent en jeu des soldes moyens qui sont établis à l'aide des soldes à la clôture du trimestre.
2. La variation des pertes de crédit attendues a essentiellement trait aux prêts, aux acceptations et aux engagements.

1. Il y a lieu de se reporter à la section « Utilisation de mesures financières supplémentaires » figurant dans le présent document pour obtenir un glossaire des mesures utilisées.
2. La mention « s. o. » est indiquée lorsque la banque est en position de reprise nette, ce qui donne lieu à un ratio négatif.
3. Les ratios du capital et les actifs pondérés en fonction des risques sont calculés au moyen de la ligne directrice sur les normes de fonds propres du BSIF et le ratio de levier est calculé conformément à la ligne directrice sur les exigences de levier de ce même organisme. Ces lignes directrices sont fondées sur celles de Bâle III.
4. Le ratio de liquidité à court terme (Liquidity Coverage Ratio ou « LCR ») est calculé en accord avec la ligne directrice sur les normes de liquidité du BSIF, laquelle intègre les normes de Bâle en ce domaine. Le LCR indiqué dans ce tableau a été calculé à partir des moyennes des chiffres à la clôture de chaque mois du trimestre.

1. Avec prise d'effet au quatrième trimestre de 2021, nous avons scindé le secteur d'activité auparavant appelé « Services bancaires internationaux et marchés » en deux secteurs, soit « Services bancaires internationaux » et « Marchés et Services liés aux valeurs mobilières », afin de refléter nos nouveaux secteurs d'activité. Toutes les données comparatives ont été ajustées pour être conformes à la présentation adoptée pour l'exercice à l'étude.
2. Le centre général n'est pas un secteur opérationnel de la banque. Les nombres indiqués ci-dessus présentent un rapprochement des résultats des secteurs opérationnels et de ceux de l'entité.

Renseignements relatifs à la Banque HSBC Canada

La Banque HSBC Canada, filiale de HSBC Holdings plc (« Groupe HSBC »), est le chef de file des banques internationales au pays. Nous aidons des entreprises et des particuliers partout au Canada à faire des affaires et à gérer leurs finances, ici et à l'échelle mondiale, par l'entremise de quatre secteurs d'activité, soit Services aux entreprises, Services bancaires internationaux¹, Marchés et Services liés aux valeurs mobilières¹ et Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. Groupe HSBC vise à devenir carboneutre dans l'exécution de ses activités et de sa stratégie d'émissions financées et elle collabore avec ses clients afin d'accélérer la transition vers une économie sobre en carbone.

Le siège social de HSBC Holdings plc, société mère de la Banque HSBC Canada, est situé à Londres. HSBC sert des clients du monde entier à partir de ses bureaux répartis dans 64 pays et territoires en Europe, en Asie, dans les Amériques, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. HSBC est l'un des plus importants établissements de services bancaires et financiers au monde, ses actifs totalisant 2 958 G$ US au 31 décembre 2021.

Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.hsbc.ca ou suivez-nous sur Twitter : @HSBC_CA ou sur Facebook : @HSBCCanada.

1. Avec prise d'effet au quatrième trimestre de 2021, nous avons scindé le secteur d'activité auparavant appelé « Services bancaires internationaux et marchés » en deux secteurs, soit « Services bancaires internationaux » et « Marchés et Services liés aux valeurs mobilières », afin de refléter nos nouveaux secteurs d'activité. Toutes les données comparatives ont été ajustées pour être conformes à la présentation adoptée pour l'exercice à l'étude.

Mise en garde concernant les énoncés prospectifs

Le présent document renferme des informations prospectives, dont des énoncés concernant les activités et projets futurs de la banque. Ces énoncés se caractérisent par le fait qu'ils ne reposent pas strictement sur des données ou événements passés ou en cours. Des énoncés prospectifs renferment souvent des termes ou expressions comme « prévoir », « estimer », « s'attendre à », « projeter », « avoir l'intention de », « planifier » et « croire », ainsi que des mots ou expressions similaires qui sont employés pour décrire le rendement financier ou opérationnel à venir. De par leur nature même, ces énoncés nous obligent à poser plusieurs hypothèses et sont assujettis à divers risques et incertitudes qui leur sont inhérents et qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement de ceux envisagés dans les énoncés prospectifs. Nous prions le lecteur de ne pas se fier indûment à ces énoncés puisque de nombreux facteurs de risque pourraient donner lieu à des résultats réels nettement différents des attentes exprimées par les énoncés. Dans le rapport de gestion figurant dans le Rapport et états financiers annuels 2021, la rubrique « Risques » décrit les principaux risques auxquels la banque est exposée, risques qui, s'ils ne sont pas gérés comme il se doit, pourraient influer grandement sur ses résultats financiers à venir. Ces risques comprennent les risques de crédit, le risque de trésorerie (incluant le risque de capital, le risque de liquidité et de financement et le risque structurel de taux d'intérêt), le risque de marché, le risque lié à la résilience, le risque de non-conformité à la réglementation, le risque lié aux crimes financiers, le risque lié aux modèles et le risque lié à la caisse de retraite. Les autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent nettement des attentes exprimées par les énoncés prospectifs comprennent la conjoncture économique dans son ensemble et les conditions de marché, les politiques budgétaires et monétaires, les modifications des lois, de la réglementation et de l'approche de supervision, le degré de concurrence et les technologies de rupture, les cybermenaces et l'accès non autorisé aux systèmes, les modifications de nos notations de crédit, le risque lié aux changements climatiques, dont les conséquences des risques de transition et des risques matériels, la transition visant les taux interbancaires offerts (« TIO ») ainsi que d'autres risques comme les changements touchant les normes comptables, les changements de taux d'imposition, les changements de lois et règlements fiscaux et leur interprétation par les autorités fiscales, le risque de fraude de la part d'employés ou d'autres parties, les transactions non autorisées et réalisées par le personnel et l'erreur humaine. Notre capacité à concrétiser nos priorités stratégiques et à gérer de manière proactive les exigences du cadre réglementaire dépend du perfectionnement et de la fidélisation de nos cadres dirigeants et de nos employés les plus performants. Demeurer en mesure de recruter, de perfectionner et de conserver à notre emploi du personnel compétent dans un marché du travail touché par la pandémie de COVID-19 se révèle difficile. Nous surveillons les risques liés aux ressources humaines en veillant à la santé mentale et au bien-être de nos employés, surtout en ces temps de pandémie. Malgré les plans d'urgence que nous avons instaurés afin d'assurer notre résilience advenant des perturbations opérationnelles à la fois prolongées et majeures, notre capacité d'exercer nos activités pourrait souffrir d'une défaillance dans les infrastructures qui soutiennent nos activités et les collectivités avec lesquelles nous faisons des affaires, incluant, sans toutefois s'y limiter, une défaillance provoquée par une urgence de santé publique, une pandémie, une catastrophe écologique ou un acte terroriste. La rubrique « Facteurs susceptibles d'avoir une incidence sur les résultats futurs » du rapport de gestion figurant dans le Rapport et états financiers annuels 2021 renferme une description de ces facteurs de risque. Nous tenons à aviser le lecteur que la liste de facteurs de risque présentée ci-dessus n'est pas exhaustive et qu'il se peut que d'autres incertitudes et facteurs éventuels non mentionnés aux présentes nuisent à nos résultats et à notre situation financière. Tout énoncé prospectif paraissant dans ce document n'est valable qu'en date de celui-ci. Nous ne nous engageons nullement à réviser, à mettre à jour ou à modifier les énoncés prospectifs en raison de nouvelles informations, d'événements ultérieurs ou d'autres circonstances, et nous déclinons expressément toute obligation de le faire, sauf dans la mesure où les lois pertinentes sur les valeurs mobilières nous y contraignent.