Les murs ont des oreilles

Attention! Votre logiciel de messagerie instantanné ICQ pourrait être sous écoute. Une entreprise est maintenant dans le trouble suite à des conversations tenues entre des dirigeants.

Ont est habitué de voir des employés se faire prendre par leur patron d'avoir tenu des propos élogieux à l'endroit de ceux-ci. Cette fois, ce sont les rôles inversés. En plus de la colère de leur employés, la firme eFront se trouve également dans l'eau chaude à cause de propos disgracieux tenus contre des partenaires.

Plusieurs sites Web destinés à la propagance (ou le malheur des autres) publient les archives. Les avocats de l'entreprise pourchassent à coup de mise en demeure dans le but de faire disparaitre les textes. Selon certaines sources, ces archives auraient été obtenus par intrusion par un employé qui serait probablement survenu le 6 mars dernier.

La tête des dirigeants à été demandé mais le P.D.G. en place à refuser. Néamoin, le vice-président, le directeur technologique, le vice-président aux acquisitions et un autre cadre, pressenti pour devenir P.D.G par interim, ont remis leur démission. Le vice-président aux finances et à l'administration avait fait de même tout juste avant la publication des archives.

Des informations personnelles du P.D.G., tel son casier judiciaire, numéro de téléphone et numéro d'ICQ, auraient été publié sur l'un des sites et depuis, il recevrait des appels de harcèlement et menaces de mort.

Le premier trimestre de l'années est très difficile pour les entreprises Internet, il ne faut donc pas faire exiprès pour se tirer dans le pied, non?

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