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Servier et Taiho Oncology présentent des données sur la survie globale de trifluridine/tipiracil (LONSURF®) en association avec le bevacizumab chez des patients atteints d'un cancer colorectal métastatique réfractaire...


 

Servier et Taiho Oncology présentent des données sur la survie globale de trifluridine/tipiracil (LONSURF®) en association avec le bevacizumab chez des patients atteints d'un cancer colorectal métastatique réfractaire lors du congrès de l'ASCO Gastrointestinal Cancers 2023

Servier et Taiho Oncology, Inc. annoncent aujourd'hui la publication des données de SUNLIGHT, une étude pivot internationale de phase 3 évaluant l'association trifluridine/tipiracil (LONSURF®) et bevacizumab chez des patients adultes atteints d'un cancer colorectal métastatique (CCRm) réfractaire, démontrant que l'étude a atteint son critère principal de survie globale (SG). Ces données seront partagées lors d'une présentation orale (Abstract n° 392020) le 21 janvier 2023 à l'American Society of Clinical Oncology Gastrointestinal Cancers Symposium (ASCO GI) à San Francisco.

L'étude SUNLIGHT a évalué l'efficacité et l'innocuité de l'association trifluridine/tipiracil et bevacizumab par rapport au trifluridine/tipiracil seul chez des patients atteints de CCRm réfractaire après progression de la maladie ou intolérance à deux chimiothérapies antérieures. Les résultats de l'analyse principale ont démontré que l'association expérimentale a permis une amélioration statistiquement et cliniquement significative de la SG de 3,3 mois par rapport au trifluridine/tipiracil seul (10,8 mois contre 7,5 mois, hazard ratio [HR] : 0,61, intervalle de confiance [IC] à 95 % : 0,49-0,77, p < 0,001). Cette amélioration de la SG représente une réduction de 39 % du risque de décès chez les patients atteints de CCRm réfractaire.

En ce qui concerne le critère secondaire principal, il a été observé une amélioration statistiquement significative de la survie sans progression (SSP) de l'association trifluridine/tipiracil et bevacizumab par rapport au trifluridine/tipiracil seul (5,6 mois contre 2,4 mois, HR : 0,44, IC à 95 % : 0,36-0,54, p < 0,001).

« Le pronostic des patients atteints de cancer colorectal métastatique qui ne répondent pas à la chimiothérapie reste mauvais, la durée médiane de survie étant généralement comprise entre 4 et 8 mois », a déclaré le Professeur Josep Tabernero, MD, PhD, chef du service d'Oncologie Médicale de l'hôpital universitaire Vall d'Hebron, Barcelone (Espagne), et Investigateur principal de l'étude SUNLIGHT. « Compte tenu de l'augmentation du nombre de cas de cancer colorectal, il est urgent de trouver de nouvelles options thérapeutiques susceptibles de prolonger la survie des patients atteints de cancer colorectal métastatique à un stade avancé de la maladie. Les résultats de l'étude SUNLIGHT représentent un développement important qui sera accueilli favorablement par la communauté scientifique. »

Les effets secondaires étaient conformes au profil connu de chaque traitement et ont été bien gérés. Le pourcentage de patients ayant présenté des événements indésirables sévères (grade ? 3) était similaire dans les groupes trifluridine/tipiracil plus bevacizumab et trifluridine/tipiracil : 72,4 % contre 69,5 %, respectivement. Les événements indésirables sévères les plus fréquents en cours de traitement dans les groupes trifluridine/tipiracil plus bévacizumab et trifluridine/tipiracil étaient la neutropénie (43,1 % contre 32,1 %) et l'anémie (6,1 % contre 11,0 %), respectivement.

« Nous sommes très satisfaits des résultats de l'étude SUNLIGHT qui démontrent que l'association trifluridine/tipiracil et bevacizumab peut être un traitement efficace et gérable dans le cancer colorectal métastatique réfractaire », a déclaré le Dr Nadia Caussé-Amellal, Responsable Développement international en Oncologie et Immuno-Oncologie des Indications Gastro-intestinales chez Servier. « Dans les mois à venir, Servier et Taiho Oncology prévoient de soumettre ces données aux autorités réglementaires en vue de proposer cette association innovante aux patients dès que possible. »

« Compte tenu du pronostic généralement mauvais et des options limitées pour les patients atteints de cancer colorectal métastatique réfractaire, il existe un besoin important d'explorer différentes approches thérapeutiques susceptibles d'avoir un impact sur l'évolution de la maladie chez ces patients », a déclaré Fabio Benedetti, MD, Directeur Médical Monde Oncologie, Taiho Pharmaceutical Co., Ltd. « Les résultats de cette étude valident encore davantage l'utilité de trifluridine/tipiracil dans cette population de patients et démontrent le potentiel de cette association thérapeutique pour la prise en charge de la maladie à un stade avancé. »

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À propos du cancer colorectal

Le cancer colorectal est le troisième cancer le plus répandu dans le monde1, avec près de 1,4 million de personnes recevant un diagnostic de cancer colorectal (CCR) chaque année1, soit 10 % des cas de cancer dans le monde1. Le CCR est la deuxième cause de mortalité par cancer, représentant 881 000 décès dans le monde en 20182, L'incidence mondiale du cancer colorectal devrait dépasser les 3 millions de cas annuels d'ici 20403, et le nombre de décès devrait augmenter de plus de 80 % pour atteindre 1,6 million par an3.

À propos de l'étude SUNLIGHT

SUNLIGHT est une étude multinationale de phase 3, randomisée/contrôlée, en ouvert avec deux bras de traitement actifs évaluant l'efficacité et la sécurité d'emploi de trifluridine/tipiracil en association avec bevacizumab versus trifluridine/tipiracil en monothérapie, chez des patients atteints d'un cancer colorectal métastatique réfractaire après deux chimiothérapies antérieures. Au total, 492 patients ont été randomisés selon un ratio 1:1 pour recevoir trifluridine/tipiracil et bevacizumab ou trifluridine/tipiracil en monothérapie. L'objectif principal était de démontrer la supériorité de l'association trifluridine/tipiracil et bevacizumab versus trifluridine/tipiracil en monothérapie, en termes de survie globale (critère principal d'évaluation). Les principaux objectifs secondaires étaient de comparer les deux modalités thérapeutiques en termes de survie sans progression, du taux de réponse objective, du taux de contrôle de la maladie, de la qualité de vie ainsi que de la sécurité et la tolérance de l'association trifluridine/tipiracil et bevacizumab en comparaison avec trifluridine/tipiracil en monothérapie.

Pour plus d'information sur SUNLIGHT, veuillez consulter le site : ttps://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04737187.

À propos de LONSURF

LONSURF est un agent antitumoral nucléosidique oral découvert et développé par Taiho Pharmaceutical Co., Ltd. LONSURF se compose d'un analogue nucléosidique à base de thymidine, la trifluridine, et d'un inhibiteur de la thymidine phosphorylase (TP), le tipiracil, qui augmente l'exposition à la trifluridine en inhibant son métabolisme par la TP. La trifluridine est incorporée à l'ADN, entraînant ainsi un dysfonctionnement de l'ADN et une inhibition de la prolifération des cellules.

INDICATIONS

Union européenne

La trifluridine et le tipiracil, commercialisés sous le nom de marque LONSURF, sont indiqués en monothérapie dans le traitement des patients adultes atteints de :

États-Unis

La trifluridine et le tipiracil, commercialisés sous le nom de marque LONSURF, sont indiqués dans le traitement des patients adultes atteints de :

INFORMATIONS IMPORTANTES SUR LA SÉCURITÉ - MISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONS D'EMPLOI

Indications et utilisation

LONSURF est indiqué dans le traitement des patients adultes atteints de :

INFORMATIONS DE SÉCURITÉ IMPORTANTES

MISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONS D'EMPLOI

Myélosuppression sévère :

LONSURF a provoqué une myélosuppression sévère et potentiellement mortelle (grade 3-4) avec une neutropénie (38 %), une anémie (18 %), une thrombocytopénie (5 %) et une neutropénie fébrile (3 %). Deux patients (0,2 %) sont décédés en raison d'une infection neutropénique. Au total, 12 % des patients traités par LONSURF ont reçu des facteurs de stimulation des colonies de granulocytes. Effectuer une numération de formule sanguine avant chaque cycle de LONSURF et au Jour 15 de chaque cycle, et plus fréquemment si cela est cliniquement indiqué. Interrompre LONSURF en cas de neutropénie fébrile, de numération absolue des neutrophiles inférieure à 500/mm3 ou de plaquettes inférieures à 50 000/mm3. Après rétablissement, reprendre LONSURF à une dose réduite selon les indications cliniques.

Toxicité embryo?foetale :

LONSURF peut nuire au foetus lorsqu'il est administré pendant la grossesse. Informer les femmes enceintes du risque potentiel pour le foetus. Conseiller aux femmes en âge de procréer d'utiliser une contraception efficace au cours du traitement et pendant au moins 6 mois après la dernière dose.

UTILISATION CHEZ DES POPULATIONS SPÉCIFIQUES

Allaitement : on ne sait pas si LONSURF ou ses métabolites sont présente dans le lait maternel. Il n'existe pas de données permettant d'évaluer les effets de LONSURF ou de ses métabolites sur le nourrisson allaité ou les effets sur la production de lait maternel. En raison du risque d'effets indésirables graves chez les nourrissons allaités, conseiller aux femmes de ne pas allaiter au cours du traitement par LONSURF et pendant 1 jour après la dernière dose.

Contraception masculine : en raison du risque de génotoxicité, conseiller aux hommes ayant des partenaires féminines en âge de procréer d'utiliser des préservatifs au cours du traitement par LONSURF et pendant au moins 3 mois après la dernière dose.

Usage gériatrique : les patients âgés de 65 ans ou plus ayant reçu LONSURF ont présenté une incidence plus élevée des effets indésirables suivants par rapport aux patients âgés de moins de 65 ans : neutropénie de grade 3 ou 4 (46 % contre 32 %), anémie de grade 3 (22 % contre 16 %) et thrombocytopénie de grade 3 ou 4 (7 % contre 4 %).

Insuffisance hépatique : ne pas instaurer le traitement par LONSURF chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (bilirubine totale supérieure à 1,5 fois la LSN et n'importe quelle ASAT). Les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (bilirubine totale supérieure à 3 fois la LSN et n'importe quelle ASAT) n'ont pas été étudiés. Aucun ajustement de la dose initiale de LONSURF n'est recommandé pour les patients présentant une insuffisance hépatique légère.

Insuffisance rénale : aucun ajustement de la dose initiale de LONSURF n'est recommandé chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée (CLcr comprise entre 30 et 89 ml/min). Réduire la dose initiale de LONSURF pour les patients présentant une insuffisance rénale sévère (CLcr comprise entre 15 et 29 ml/min) à la dose recommandée de 20 mg/m².

EFFETS INDÉSIRABLES

Effets indésirables du médicament les plus fréquents chez les patients traités par LONSURF (? 5 %) : Les effets indésirables les plus fréquents chez les patients atteints de CCRm traités par LONSURF par rapport à ceux traités par placebo, respectivement, étaient : asthénie/fatigue (52 % vs 35 %), nausées (48 % vs 24 %), diminution de l'appétit (39 % vs 29 %), diarrhée (32 % vs 12 %), vomissements (27 % vs 16 %), infections (27 % vs 16 %), douleur abdominale (21 % vs 18 %), fièvre (19 % vs 14 %), stomatite (8 % vs 6 %), dysgueusie (7 % vs 2 %) et alopécie (7 % vs 1 %). Dans le cas du cancer gastrique métastatique ou de la jonction gastro-oesophagienne (JGO) métastatique, les effets indésirables les plus fréquents étaient, respectivement : nausées (37 % vs 32 %), diminution de l'appétit (34 % vs 31 %), vomissements (25 % vs 20 %), infections (23 % vs 16 %) et diarrhée (23 % vs 14 %).

Les cas d'embolie pulmonaire ont été plus fréquents chez les patients traités par LONSURF que chez les patients sous placebo : dans le CCRm (2 % vs 0 %) et dans le cancer gastrique métastatique ou de la JGO (3 % vs 2 %).

Des cas de pneumopathie interstitielle (0,2 %), y compris des décès, ont été observés dans des études cliniques et dans des contextes de pratique clinique en Asie.

Anomalies des analyses de laboratoire chez les patients traités par LONSURF : les anomalies des analyses de laboratoire les plus fréquentes chez les patients atteints de CCRm traités par LONSURF et ceux traités par placebo étaient respectivement : anémie (77 % vs 33 %), neutropénie (67 % vs 1 %) et thrombocytopénie (42 % vs 8 %). Dans les cas de cancer gastrique métastatique ou de la JGO, les anomalies des analyses de laboratoire étaient respectivement : neutropénie (66 % vs 4 %), anémie (63 % vs 38 %) et thrombocytopénie (34 % vs 9 %).

Veuillez consulter l'ensemble des informations posologiques pour l'UE.

https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/lonsurf-epar-product-information_en.pdf

Veuillez consulter l'ensemble des informations posologiques pour les États-Unis.

https://www.taihooncology.com/us/prescribing-information.pdf

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À propos de Servier

Fondé pour servir la santé, Servier est un groupe pharmaceutique international gouverné par une Fondation, qui aspire à avoir un impact sociétal significatif pour les patients et pour un monde durable. Son modèle unique de gouvernance lui permet de servir pleinement sa vocation avec une vision à long terme : être engagé pour le progrès thérapeutique au bénéfice des patients. Les 21 800 collaborateurs qui composent le Groupe sont engagés autour de cette vocation commune, source d'inspiration au quotidien.

Leader mondial en cardiologie, Servier a pour ambition de devenir un acteur reconnu, focalisé et innovant en oncologie en ciblant des cancers difficiles à traiter. C'est pourquoi le Groupe consacre plus de 50 % de son budget de R&D au développement de thérapies ciblées et innovantes en oncologie.

Les neurosciences et les maladies immuno-inflammatoires constituent un futur relais de croissance. Dans ces domaines, Servier se focalise sur un nombre restreint de pathologies spécifiques dans lesquelles une caractérisation précise des patients permet de proposer une réponse thérapeutique ciblée, grâce à la médecine de précision.

Pour favoriser l'accès à des soins de qualité pour tous, et à moindre coût, le Groupe propose également une offre de médicaments génériques couvrant la majorité des pathologies, en s'appuyant sur des marques fortes en France, en Europe de l'Est, au Brésil et au Nigeria.

Dans tous ces domaines, le Groupe intègre la voix du patient à chaque étape du cycle de vie du médicament.

Servier, dont le siège social est basé en France, s'appuie sur une solide implantation géographique dans plus de 150 pays et a réalisé, en 2021, un chiffre d'affaires de 4,7 milliards d'euros.

Plus d'informations sur le nouveau site du Groupe : servier.com

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À propos de Taiho Oncology, Inc.

La mission de Taiho Oncology, Inc. est d'améliorer la vie des patients atteints de cancer, de leurs familles et de leurs soignants. La société se spécialise dans le développement d'agents anticancéreux administrés par voie orale et commercialise ces médicaments pour certains types de tumeurs aux États-Unis. Le portefeuille croissant d'agents anticancéreux ciblés de Taiho Oncology est dirigé par une organisation de développement clinique de classe mondiale. Taiho Oncology est une filiale de Taiho Pharmaceutical Co., Ltd. qui fait partie de Otsuka Holding Co., Ltd. Taiho Oncology a son siège social à Princeton, au New Jersey, et supervise les activités européennes et canadiennes de sa société mère, qui sont situées à Zoug, en Suisse, et à Oakville, en Ontario, au Canada.

Plus d'information sur Taiho Oncology, Inc. sur le site : www.taihooncology.com.

Références

1 Digestive Cancers Europe. Prevalence of Colorectal Cancer. Disponible sur : https://digestivecancers.eu/colorectal-cancer/prevalence-of-colorectal-cancer-prevalence/?menu_id=13873. Dernière consultation : décembre 2022.

2 Tabernero J., Taieb J., Prager G., et al. Trifluridine/tipiracil plus bevacizumab for third-line management of metastatic colorectal cancer: SUNLIGHT study design. Future Oncol. 2021.17(16): 1977?1985. Disponible sur : https://www.futuremedicine.com/doi/full/10.2217/fon-2020-1238. Dernière consultation : janvier 2023.

3 World Health Organization. International Agency for Research on Cancer. Global burden of colorectal cancer in 2020 and 2040: incidence and mortality estimates from GLOBOCAN. Disponible sur : https://www.iarc.who.int/news-events/global-burden-of-colorectal-cancer-in-2020-and-2040-incidence-and-mortality-estimates-from-globocan/#:~:text=The%20authors%20predict%20that%20by,an%20increase%20of%2073%25. Dernière consultation : décembre 2022.


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