Comment le HPV affecte la santé d'un couple
MALAGA, Espagne, 7 juillet 2020 /PRNewswire/ -- Il existe une forte prévalence de l'infection par HPV chez les adultes sexuellement actifs et, comme il est asymptomatique dans de nombreux cas, l'un des partenaires peut avoir contracté une infection latente depuis de nombreuses années sans le savoir. Le fait d'avoir le HPV n'est donc pas un signe d'infidélité, et il n'est pas possible de dire qui a transmis le virus à qui, ou s'il a été transmis par une relation passée.
Chez les femmes, le cancer du col de l'utérus est une maladie sexuellement transmissible car dans plus de 90 % des cas, il est dû à des types de HPV à haut risque, en particulier chez les 16-18 ans, et son incidence augmente chez les femmes âgées de moins de 35 ans.
Les lésions prémalignes, appelées « néoplasies cervicales intraépithéliales », peuvent être identifiées lors du test de Papanicolaou ; celui-ci est recommandé à chaque femme à partir du moment où elle commence à avoir des relations sexuelles. Le traitement à ces stades initiaux peut être curatif et prévenir le cancer. Cependant, toute femme qui a eu une lésion HPV peut en avoir d'autres.
Quels sont les effets du HPV sur la santé des hommes ?
Chez les hommes, l'infection au HPV est généralement asymptomatique. Les verrues génitales peuvent passer inaperçues en prenant la forme de petites grosseurs sur le pénis, le scrotum ou autour de l'anus. Les cancers du HPV sont rares chez les hommes. Les cancers de l'anus et du pénis sont liés à des HPV à haut risque. Ils sont répandus chez les hommes infectés par le VIH, car le risque d'infection est plus élevé dans ce type de relations sexuelles.
Si une personne dans un couple présente des lésions suspectes sur les organes génitaux, l'anus ou la bouche, il est important qu'elle s'abstienne de tout contact sexuel et s'entretienne avec son médecin en vue d'un traitement.
Le système immunitaire et l'infection par HPV
Actuellement, lorsque des verrues HPV apparaissent, c'est généralement dû à une altération du bon fonctionnement du système immunitaire. Les principaux mécanismes mis en place pour lutter contre une infection par le papillomavirus humain se basent sur l'immunité cellulaire. En d'autres termes, l'échec de ces mécanismes dans les réponses des cellules tueuses naturelles et lymphocytes T cytotoxiques peut favoriser le développement de verrues ou condylomes.
Toutes ces connaissances nous ont permis d'établir que PAPILOXYL, en tant que complément de dernière génération, est un excellent adjuvant, amplificateur et modulateur du système immunitaire, de synthèse de l'ADN, et fournit également une protection aux cellules contre les dommages oxydants. Il contribue aussi au processus de différenciation cellulaire.
Concernant la prévention, Dra. Montiel de l'université de Zulia partage l'idée qu'une prévention secondaire peut s'axer sur le maintien de l'activité du système immunitaire car il est crucial pour détecter l'infection, la maintenir asymptomatique et même éliminer le virus : « Comme pour les autres infections virales, telles que l'herpès, ou le VIH, si les défenses du corps sont faibles, ces virus échappent aux mécanismes de contrôle immunitaire et des maladies apparaissent ; quelque chose de similaire se produit avec le HPV. »
Une alimentation adaptée améliore le système immunitaire
Une partie de l'énergie contenue dans les aliments sert à préserver les fonctions du système immunitaire et à garantir la santé du corps. Les résultats de plusieurs études indiquent qu'un plan nutritionnel avec des probiotiques, des vitamines et des minéraux fait partie du traitement visant à améliorer l'activité du système immunitaire.
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