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Sujet : Bénéfices

La Banque Scotia communique ses résultats du quatrième trimestre et de l'exercice 2018

 

 

 

 

TORONTO, le 27 nov. 2018 /CNW/ - La Banque Scotia a affiché un bénéfice net de 8 724 millions de dollars en 2018, comparativement à 8 243 millions de dollars en 2017. Le bénéfice dilué par action s'est fixé à 6,82 $, ce qui représente une hausse de 5 % par rapport à l'exercice précédent. Le rendement des capitaux propres a atteint 14,5 %, alors qu'il s'était établi à 14,6 % pour l'exercice précédent. Après ajustement pour exclure les coûts liés aux acquisitions de 420 millions de dollars après impôt (591 millions de dollars avant impôt), le bénéfice net a augmenté de 11 % pour atteindre 9 144 millions de dollars et le bénéfice dilué par action a progressé de 9 % en regard de l'exercice précédent pour s'établir à 7,11 $.

Pour le quatrième trimestre clos le 31 octobre 2018, le bénéfice net présenté s'est élevé à 2 271 millions de dollars, comparativement à 2 070 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent. Le bénéfice dilué par action s'est établi à 1,71 $, en hausse de 4 % par rapport à celui de 1,64 $ pour l'exercice précédent. Le rendement des capitaux propres s'est établi à 13,8 %. Après ajustement pour exclure les coûts liés aux acquisitions de 74 millions de dollars après impôt (102 millions de dollars avant impôt), le bénéfice net a augmenté de 13 % pour atteindre 2 345 millions de dollars et le bénéfice dilué par action a progressé de 8 % en regard de l'exercice précédent pour s'établir à 1,77 $. Un dividende trimestriel de 0,85$ par action ordinaire a été annoncé.

« En 2018, nous avons affiché de solides résultats et réalisé d'importants investissements, qui profiteront à la Banque dans les années à venir », a déclaré Brian Porter, président et chef de la direction. « Les acquisitions stratégiques conclues au cours de l'exercice ont renforcé la qualité des sources de revenus de la Banque de leur ensemble et nous ont permis de connaître une expansion considérable dans nos marchés clés. Nous avons affiché une solide performance dans nos principales activités à l'intention des particuliers et des sociétés et nous avons consolidé nos activités de gros. Nous poursuivons sur notre lancée pour ce qui est de notre stratégie numérique, nous offrons une expérience client exceptionnelle et nous avons accru la productivité.

« Le Réseau canadien a réalisé un solide bénéfice de 4,4 milliards de dollars, en hausse de 7 % par rapport à l'exercice précédent. La croissance des actifs est demeurée élevée et nous avons continué de faire croître les dépôts tout en améliorant notre marge nette sur intérêts. Les acquisitions de Jarislowsky Fraser et de Gestion financière MD permettront à la Banque de concrétiser son engagement stratégique de faire croître et de diversifier ses activités de gestion de patrimoine à l'échelle mondiale. 

« Les Opérations internationales ont affiché de très solides résultats caractérisés par une croissance de 18 % du bénéfice annuel ajusté en dollars constants. Ces résultats découlent d'une croissance à deux chiffres des prêts et des dépôts dans les pays de l'Alliance du Pacifique, soit le Mexique, le Pérou, le Chili et la Colombie, soutenue en partie par les récentes acquisitions, par un levier d'exploitation positif et par une qualité du crédit stable.

« Le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 de la Banque est également demeuré solide à 11,1 %, du fait de la forte auto génération de capital et de la gestion prudente de la croissance des actifs pondérés en fonction des risques, ce qui place la Banque en bonne posture pour faire croître ses activités et améliorer le rendement revenant aux actionnaires.

« La Banque est en bonne position pour connaître une croissance dans l'ensemble de ses marchés clés en 2019, et plus particulièrement dans les pays de l'Alliance du Pacifique, où notre bénéfice démontre un fort dynamisme et où l'économie est vigoureuse. Nous sommes fiers des investissements importants que nous avons consacrés aux technologies et de leur incidence positive sur l'expérience du client et sur la sûreté et la sécurité des données de nos clients, de même que de celles de la Banque dans son ensemble. Nous sommes convaincus de pouvoir intégrer avec succès nos récentes acquisitions, sur la foi de notre remarquable feuille de route, et nous maintenons de solides ratios de fonds propres. Grâce à nos investissements continus dans nos gens et à nos efforts soutenus dans le but d'accroître l'efficience dans l'ensemble de la Banque, tout est en place pour que nous puissions dégager de forts résultats dans les années à venir. »

Mesures non conformes aux PCGR

Pour évaluer sa performance, la Banque a recours à diverses mesures financières. Certaines d'entre elles ne sont pas calculées selon les principes comptables généralement reconnus (les « PCGR »), lesquels s'appuient sur les Normes internationales d'information financière (les « IFRS »), ni définies par les PCGR. Ces mesures n'ont aucune signification normalisée qui assurerait qu'elles sont cohérentes et comparables à celles du même nom ou semblables utilisées par d'autres sociétés. La Banque est d'avis que certaines mesures non conformes aux PCGR sont utiles afin de déterminer la performance de la Banque et permettent aux lecteurs de mieux apprécier comment la Banque évalue la performance de ses activités. Ces mesures non conformes aux PCGR sont utilisées dans le présent communiqué de presse et sont définies à la rubrique « Mesures non conformes aux PCGR » du rapport annuel 2018.

Résultats ajustés et bénéfice dilué ajusté par action

Les tableaux qui suivent présentent les rapprochements des résultats financiers présentés conformément aux PCGR et des résultats financiers ajustés non conformes aux PCGR.

Au cours du quatrième trimestre, la Banque a finalisé l'acquisition de Gestion financière MD. Au cours du troisième trimestre, la Banque a mené à terme l'acquisition de Jarislowsky Fraser, de BBVA Chile et des services aux particuliers de Citibank en Colombie.

Les résultats financiers pour l'exercice 2018 et les trimestres à l'étude ont été ajustés pour tenir compte des facteurs suivants, liés surtout aux acquisitions mentionnées ci-dessus menées à terme au cours de l'exercice 2018.

Coûts liés aux acquisitions

• Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances initiale au titre des instruments financiers productifs acquis, comme il est requis aux termes de l'IFRS 9. La norme ne fait pas de distinction entre les prêts productifs montés et acquis et, en conséquence, elle exige le même traitement comptable pour ces deux types de prêts.
• Coûts d'intégration - Ces derniers comprennent les coûts qui ont été engagés dans le cadre d'acquisitions au cours de l'exercice à l'étude et qui sont liés à l'intégration des activités acquises, et qui ne feront pas partie des activités poursuivies une fois la réalisation de l'intégration terminée.
• Amortissement des immobilisations incorporelles liées aux acquisitions, à l'exclusion des logiciels, se rapportant aux acquisitions de la période à l'étude ou de périodes antérieures.

Rapprochement des résultats présentés et ajustés et du bénéfice dilué ajusté par action

 

Rapprochement des résultats présentés et ajustés et du bénéfice dilué ajusté par action par secteurs d'activité

 

 

Rapprochement des résultats présentés et des résultats présentés en dollars constants du secteur Opérations internationales

Les résultats du secteur Opérations internationales sont présentés en dollars constants. Selon la présentation en dollars constants, les montants des périodes précédentes sont recalculés au moyen des taux de change moyens de la période à l'étude. Le tableau suivant fournit le rapprochement entre les résultats présentés et les résultats présentés en dollars constants du secteur Opérations internationales pour les périodes précédentes.

 

Actifs liés aux activités bancaires principales
Les actifs liés aux activités bancaires principales représentent les actifs productifs moyens, exclusion faite des acceptations bancaires et des actifs détenus à des fins de transaction moyens au sein des Services bancaires et marchés mondiaux.

Marge sur activités bancaires principales
Ce ratio représente les revenus d'intérêts nets divisés par les actifs liés aux activités bancaires principales moyens.

Faits saillants financiers

 

Incidence de la conversion des devises
Le tableau ci-après présente l'incidence estimée de la conversion des devises sur certains postes clés de l'état du résultat net.

 

 

 

Résultats financiers du Groupe

Bénéfice net
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Le bénéfice net s'est établi à 2 271 millions de dollars, ce qui représente une hausse de 201 millions de dollars ou de 10 %. Compte non tenu des coûts liés aux acquisitions, le bénéfice net a augmenté de 261 millions de dollars ou de 13 %. La croissance des actifs et l'amélioration de la marge nette sur intérêts ainsi que la hausse des revenus autres que d'intérêts et l'incidence des acquisitions ont été partiellement contrebalancées par l'augmentation de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et la hausse des charges autres que d'intérêts.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Le bénéfice net s'est établi à 2 271 millions de dollars, ce qui représente une hausse de 332 millions de dollars ou de 17 %. Compte non tenu des coûts liés aux acquisitions, le bénéfice net a augmenté de 86 millions de dollars ou de 4 %. L'augmentation découle surtout de l'incidence des acquisitions.

Revenus d'intérêts nets
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les revenus d'intérêts nets se sont établis à 4 220 millions de dollars, soit une hausse de 389 millions de dollars ou de 10 %. Les acquisitions ont contribué à hauteur de 6 % à la hausse, le reste de celle-ci s'expliquant par la croissance généralisée des prêts aux particuliers, aux entreprises et aux sociétés dans nos trois secteurs d'activité.

La marge sur activités bancaires principales s'est améliorée de trois points de base pour s'établir à 2,47 %. Les changements dans la composition des activités découlant des acquisitions des Opérations internationales et l'élargissement des marges du Réseau canadien ont été en partie contrebalancés par la baisse de la marge des Services bancaires et marchés mondiaux et la baisse de l'apport des activités de gestion de l'actif et du passif.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018
Les revenus d'intérêts nets se sont établis à 4 220 millions de dollars, soit une hausse de 135 millions de dollars ou de 3 % qui s'explique surtout par l'incidence des acquisitions, qui a été en partie contrebalancée par la baisse de l'apport des activités de gestion de l'actif et du passif, ainsi que par les Services bancaires et marchés mondiaux.

La marge sur activités bancaires principales s'est établie à 2,47 %, ce qui représente une hausse de un point de base. La variation positive de la composition des actifs découlant des acquisitions et la baisse des volumes des actifs négociables ont été contrebalancées en partie par la baisse des marges des Services bancaires et marchés mondiaux et du Réseau canadien.

Revenus autres que d'intérêts
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les revenus autres que d'intérêts ont progressé de 247 millions de dollars ou de 8 % pour se chiffrer à 3 228 millions de dollars. L'incidence des acquisitions, déduction faite du profit sur la vente de Patrimoine Hollis (la « vente d'activités ») au cours de l'exercice précédent, a compté pour environ 2 % de la croissance. La croissance restante est principalement attribuable à la hausse des revenus tirés des frais bancaires et sur cartes de crédit, des revenus tirés des activités de transaction et du revenu découlant de participations dans des sociétés associées compte tenu de l'harmonisation de la période de présentation de la Banque (l'« harmonisation de la période de présentation »). Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par le recul des profits sur la vente de biens immobiliers.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les revenus autres que d'intérêts ont augmenté de 132 millions de dollars ou de 4 %. Les acquisitions ont représenté environ 3 % de la croissance. La croissance restante est principalement attribuable à la hausse des revenus tirés des frais bancaires et sur cartes de crédit et du revenu découlant de participations dans des sociétés associées, du fait surtout de l'harmonisation de la période de présentation. Ces facteurs ont été neutralisés en partie par la diminution des profits sur les titres et des honoraires de gestion de patrimoine ainsi que par l'incidence défavorable de la conversion des devises.

Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 590 millions de dollars, en hausse de 54 millions de dollars ou de 10 %, du fait de la hausse de la dotation au titre des prêts aux particuliers, ce qui est conforme à la croissance découlant des acquisitions, en partie contrebalancée par la baisse de la dotation au titre des prêts aux entreprises.

La dotation au titre des actifs financiers douteux (qui comprennent des prêts et des titres de créance) s'est chiffrée à 637 millions de dollars, en hausse de 101 millions de dollars, en raison surtout de la hausse des dotations au titre des prêts aux particuliers des Opérations internationales. La hausse de la dotation en lien avec la restructuration des titres d'emprunt de la Barbade a été contrebalancée par les recouvrements des Opérations internationales et des Services bancaires et marchés mondiaux. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances au titre des prêts douteux est demeuré inchangé à 42 points de base. La réduction de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances au titre des prêts productifs de 47 millions de dollars est surtout attribuable à la reprise sur la dotation qui avait été précédemment comptabilisée pour les ouragans dans les Caraïbes et qui n'est plus requise ainsi qu'à l'amélioration de la qualité du crédit. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a diminué de trois points de base pour s'établir à 39 points de base.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 590 millions de dollars, en baisse de 353 millions de dollars. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a augmenté de 51 millions de dollars ou de 9 %, du fait de la hausse de la dotation au titre des prêts aux particuliers, ce qui est conforme à la croissance découlant des acquisitions, en partie contrebalancée par la baisse de la dotation au titre des prêts aux entreprises.

La dotation au titre des actifs financiers douteux (qui comprennent des prêts et des titres de créance) s'est chiffrée à 637 millions de dollars, en hausse de 78 millions de dollars ou de 14 %, en raison surtout de la hausse de la dotation au titre des prêts aux particuliers des Opérations internationales, qui tenait également compte de l'incidence des acquisitions sur un trimestre complet. La hausse de la dotation en lien avec la restructuration des titres d'emprunt de la Barbade a été contrebalancée par les recouvrements des Opérations internationales et des Services bancaires et marchés mondiaux. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances au titre des prêts douteux s'est établi à 42 points de base, en hausse de un point de base. La réduction de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances au titre des prêts productifs de 27 millions de dollars est surtout attribuable à la reprise sur la dotation qui avait été précédemment comptabilisée pour les ouragans dans les Caraïbes et qui n'est plus requise ainsi qu'à l'amélioration de la qualité du crédit. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a reculé de un point de base pour s'établir à 39 points de base.

Charges autres que d'intérêts
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les charges autres que d'intérêts ont totalisé 4 064 millions de dollars, en hausse de 396 millions de dollars ou de 11 %. Compte non tenu des coûts liés aux acquisitions, les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 311 millions de dollars ou de 9 %, dont une tranche de 6 % était liée à l'incidence des acquisitions. L'augmentation restante de 3 % découle surtout de la hausse des investissements dans les initiatives liées aux technologies et à la réglementation, des autres charges liées à la croissance des activités et de l'incidence défavorable de la conversion des devises. Ces facteurs ont été atténués par l'incidence des économies supplémentaires découlant des mesures de réduction des coûts.

Le ratio de productivité s'est établi à 54,6 %, comparativement à 53,8 %. Après ajustement pour exclure les coûts liés aux acquisitions, le ratio de productivité s'est établi à 53,2 %, comparativement à 53,6 %.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 294 millions de dollars ou de 8 %. Compte non tenu des coûts liés aux acquisitions, les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 240 millions de dollars ou de 7 %, dont une tranche de 5 % était liée à l'incidence des acquisitions. L'augmentation restante de 2 % s'explique d'abord et avant tout par la hausse des frais de publicité et de prospection et des autres charges en appui aux activités, atténuée par l'incidence favorable de la conversion des devises.

Le ratio de productivité s'est établi à 54,6 %, comparativement à 52,5 %. Après ajustement pour exclure les coûts liés aux acquisitions, le ratio de productivité s'est établi à 53,2 %, comparativement à 51,8 %.

Impôt sur le résultat
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Le taux d'impôt effectif s'est établi à 18,7 %, ou à 19,0 % après ajustement pour exclure les coûts liés aux acquisitions, pour le trimestre à l'étude, en baisse par rapport à 20,6 %, essentiellement du fait de la baisse de l'impôt dans certains territoires étrangers en 2018. L'exercice précédent avait profité des dividendes exonérés d'impôt plus élevés liés aux activités de transaction sur actions pour le compte de clients.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Le taux d'impôt effectif a diminué pour s'établir à 18,7 %, ou à 19,0 % après ajustement pour exclure les coûts liés aux acquisitions, par rapport à 21,5 %, essentiellement du fait de la baisse de l'impôt dans certains territoires étrangers.

Dividende sur les actions ordinaires

Le conseil d'administration a approuvé un dividende trimestriel de 0,85 $ par action ordinaire dans le cadre de sa réunion. Ce dividende trimestriel sera versé le 29 janvier 2019 aux actionnaires inscrits le 2 janvier 2019.

Ratios de fonds propres

Au 31 octobre 2018, le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 aux termes de Bâle III demeurait solide à 11,1 %. La diminution d'environ 40 points de base en 2018 du ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 est surtout attribuable à l'incidence des acquisitions conclues au cours de l'exercice, aux rachats d'actions et à l'adoption par la Banque de l'IFRS 9, facteurs en partie contrebalancés par la forte autogénération de capital et les avantages de la transition vers le plancher de fonds propres réglementaires aux termes de Bâle II.

Le ratio de T1 et le ratio total des fonds propres aux termes de Bâle III de la Banque s'établissaient à 12,5 % et à 14,3 %, respectivement, au 31 octobre 2018, en baisse par rapport à 2017 en raison surtout des mêmes facteurs que ceux décrits ci-dessus ayant eu une incidence sur le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1. En outre, le ratio de levier a diminué d'environ 20 points de base en 2018 en raison surtout des acquisitions de la Banque et de la croissance interne des actifs.

Données par secteurs d'exploitation

Réseau canadien

 

 

Bénéfice net
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 1 115 millions de dollars, en hausse de 4 %. Compte non tenu des coûts liés aux acquisitions, le bénéfice net s'est établi à 1 146 millions de dollars, comparativement à 1 073 millions de dollars, soit une hausse de 7 %. L'augmentation s'explique par la forte croissance des actifs et des dépôts, l'élargissement de la marge, la hausse des revenus autres que d'intérêts et le recul de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances, atténués par l'accroissement des charges autres que d'intérêts. La diminution des profits sur les biens immobiliers et le profit sur la vente d'activités au cours de l'exercice précédent ont réduit de 7 % la croissance du bénéfice.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a reculé de 1 % pour s'établir à 1 115 millions de dollars. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, le bénéfice net est demeuré stable par rapport au trimestre précédent. Les revenus tirés de la croissance des actifs et des dépôts, la hausse des revenus autres que d'intérêts et l'augmentation du revenu découlant des participations dans des sociétés associées ont été atténués par la hausse de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et l'augmentation des charges autres que d'intérêts.

Revenus d'intérêts nets
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les revenus d'intérêts nets se sont établis à 2 029 millions de dollars, en hausse de 114 millions de dollars ou de 6 %. La hausse traduit l'excellente croissance des actifs et des dépôts et une augmentation de la marge nette sur intérêts. La marge s'est appréciée de quatre points de base pour se chiffrer à 2,45 % en raison principalement des hausses des taux d'intérêt par la Banque du Canada.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les revenus d'intérêts nets ont été conformes à ceux du trimestre précédent puisque la croissance des actifs et des dépôts a été contrée en partie par le recul de la marge nette sur intérêts.

Revenus autres que d'intérêts
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les revenus autres que d'intérêts ont totalisé 1 414 millions de dollars, en hausse de 64 millions de dollars ou de 5 %. Les revenus autres que d'intérêts découlant des acquisitions ont été contrebalancés par le profit sur la vente d'activités au cours de l'exercice précédent. Les hausses des revenus sur cartes de crédit et des commissions de crédit ont été annulées en partie par le repli des profits sur les biens immobiliers.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les revenus autres que d'intérêts ont augmenté de 65 millions de dollars ou de 5 % sous l'effet surtout de l'incidence des acquisitions, de la hausse des revenus sur cartes de crédit et de la hausse du revenu découlant des participations dans des sociétés associées.

Charges autres que d'intérêts
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les charges autres que d'intérêts se sont établies à 1 747 millions de dollars, en hausse de 118 millions de dollars ou de 7 %. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 5 %, environ la moitié de cette augmentation ayant découlé des charges d'exploitation liées aux acquisitions. La hausse des investissements dans les initiatives liées aux technologies et à la réglementation a été atténuée par les économies découlant des mesures de réduction des coûts.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 86 millions de dollars ou 5 %. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 4 %, une proportion d'environ un tiers de cette augmentation ayant découlé des charges d'exploitation liées aux acquisitions. L'augmentation des coûts liés à la commercialisation et la hausse des investissements dans les initiatives liées aux technologies ont été compensées en partie par les avantages découlant des mesures de réduction des coûts.

Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 198 millions de dollars, contre 218 millions de dollars, en raison de la réduction de la dotation au titre des prêts douteux en ce qui a trait aux prêts aux particuliers. La dotation au titre des prêts productifs a augmenté de 10 millions de dollars, du fait surtout des prêts aux entreprises. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a diminué de quatre points de base, pour se fixer à 23 points de base.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 198 millions de dollars, contre 181 millions de dollars. La dotation au titre des prêts douteux s'est chiffrée à 188 millions de dollars, ce qui représente une hausse de 8 %, du fait principalement de l'augmentation des dotations au titre des prêts aux entreprises. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances au titre des prêts douteux s'est établi à 22 points de base, en hausse de un point de base. La dotation au titre des prêts productifs a augmenté de 3 millions de dollars du fait de la hausse des dotations au titre des prêts aux particuliers. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établi à 23 points de base, en hausse de 2 points de base.

Impôt
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Le taux d'impôt effectif de 25,6 % a augmenté par rapport au taux de 24,8 % pour l'exercice précédent, sous l'effet surtout de la diminution des profits sur la vente de biens immobiliers.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Le taux d'impôt effectif s'est établi à 25,6 %, ce qui représente une légère baisse par rapport au taux de 26,2 % pour le trimestre précédent.

Actifs moyens
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les actifs moyens ont progressé de 17 milliards de dollars ou de 5 % pour s'établir à 349 milliards de dollars, du fait surtout de l'accroissement des prêts et acceptations aux entreprises, qui ont augmenté de 6 milliards de dollars ou de 13 %. Les prêts hypothécaires à l'habitation ont augmenté de 6 milliards de dollars ou de 3 %, tandis que les prêts personnels se sont accrus de 2 milliards de dollars ou de 3 %.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les actifs moyens ont augmenté de 5 milliards de dollars ou de 2 %. Cette augmentation comprend une hausse de 1 milliard de dollars ou de 1 % des prêts et acceptations aux entreprises. Un accroissement de 1 milliard de dollars ou de 1 % des prêts personnels a été enregistré, tandis que les prêts hypothécaires à l'habitation se sont appréciés de 1 milliard de dollars. Le reste de la hausse a été observée dans les autres catégories d'actifs, principalement en raison de l'incidence des acquisitions au cours du trimestre.

Passifs moyens
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les passifs moyens ont augmenté de 17 milliards de dollars ou de 7 %, ce qui rend compte des fortes croissances de 6 milliards de dollars ou de 12 % des CPG de particuliers, de 1 milliard de dollars ou de 1 % des dépôts dans les comptes de chèques et d'épargne de particuliers et de 5 milliards de dollars ou de 7 % des dépôts autres que de particuliers.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les passifs moyens ont connu une hausse de 9 milliards de dollars ou de 3 %, du fait surtout des augmentations de 3 milliards de dollars ou de 5 % des CPG et de 4 milliards de dollars ou de 6 % des dépôts autres que de particuliers.

Actifs sous administration (« ASA ») et actifs sous gestion (« ASG »)
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les ASG ont atteint 225 milliards de dollars, ce qui représente une hausse de 70 milliards de dollars ou de 45 % qui s'explique par l'incidence des acquisitions. Les ASA ont progressé de 40 milliards de dollars, ou 12 % pour s'établir à 355 milliards de dollars, en raison principalement de l'incidence des acquisitions.  

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les ASG se sont chiffrés à 225 milliards de dollars, en hausse de 28 milliards de dollars ou de 14 %, dynamisés par l'acquisition de Gestion financière MD, contrée en partie par le recul du marché. Les ASA se sont chiffrés à 355 milliards de dollars, en hausse de 34 milliards de dollars ou de 11 % du fait surtout de l'acquisition de Gestion financière MD, contrebalancée en partie par le recul du marché.

Opérations internationales

 

          

Bénéfice net
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 712 millions de dollars, en hausse de 107 millions de dollars ou de 18 %. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, le bénéfice net a augmenté de 133 millions de dollars, ou de 22 %, pour s'établir à 746 millions de dollars, une tranche de 7 % étant liée à l'incidence supplémentaire des regroupements d'entreprises et à l'harmonisation de la période de présentation en Thaïlande. La croissance est le fait surtout de la solide progression des prêts et dépôts dans les pays de l'Alliance du Pacifique, de l'augmentation des revenus autres que d'intérêts, y compris la hausse du revenu découlant de participations dans des sociétés associées, et de la baisse du taux d'impôt effectif, facteurs atténués par des charges autres que d'intérêts et une dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances plus élevées.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a bondi de 193 millions de dollars ou de 37 %. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, le bénéfice net a augmenté de 31 millions de dollars, ou de 4 %, du fait surtout de l'incidence supplémentaire des regroupements d'entreprises et de l'harmonisation de la période de présentation avec celle de la Banque. La croissance résulte avant tout de la hausse des revenus tirés des frais et de la baisse du taux d'impôt effectif.

Performance financière en dollars constants

L'analyse ci-dessous portant sur les résultats d'exploitation est établie en dollars constants, en excluant l'incidence de la conversion des devises, qui est une mesure non conforme aux PCGR (se reporter à la rubrique « Mesures non conformes aux PCGR »). La Banque est d'avis que la présentation de l'information en dollars constants permet au lecteur de mieux évaluer la performance des activités courantes. Les ratios se fondent sur les données présentées.

 

Bénéfice net
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 712 millions de dollars, en hausse de 106 millions de dollars ou de 18 %. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, le bénéfice net a augmenté de 132 millions de dollars, ou de 22 %, pour s'établir à 746 millions de dollars, dont 7 % est attribuable à l'incidence additionnelle des regroupements d'entreprises et de l'harmonisation de la période de présentation en Thaïlande. Cette croissance est le fait surtout de la solide progression des prêts et dépôts dans les pays de l'Alliance du Pacifique, de l'augmentation des revenus autres que d'intérêts, y compris la hausse du revenu découlant de participations dans des sociétés associées, et de la baisse de l'impôt, facteurs atténués par des charges autres que d'intérêts plus élevées.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a bondi de 188 millions de dollars ou de 36 %. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, le bénéfice net a augmenté de 40 millions de dollars, ou de 6 %, dont 4 % découle de l'incidence supplémentaire des regroupements d'entreprises et de l'harmonisation de la période de présentation avec celle de la Banque. La croissance résulte avant tout de la hausse des revenus tirés des frais et de la baisse du taux d'impôt effectif.

Revenus d'intérêts nets
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les revenus d'intérêts nets se sont établis à 2 030 millions de dollars, en hausse de 20 %, dont 13 % découle de l'incidence des acquisitions. La hausse restante de 7 % est attribuable à la forte croissance des prêts aux particuliers et aux entreprises. La marge nette sur intérêts a diminué de 15 points de base pour s'établir à 4,52 %, en raison principalement de l'incidence des acquisitions sur la composition des activités.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les revenus d'intérêts nets se sont accrus de 224 millions de dollars, en hausse de 12 %, en raison surtout de l'incidence des acquisitions. La forte croissance des prêts aux particuliers et aux entreprises a été contrebalancée en partie par la marge nette sur intérêts plus faible. La marge nette sur intérêts a diminué de 18 points de base pour s'établir à 4,52 %, ce qui s'explique avant tout par l'incidence des acquisitions sur la composition des activités.

Revenus autres que d'intérêts
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les revenus autres que d'intérêts ont totalisé 1 104 millions de dollars, en hausse de 215 millions de dollars ou de 24 %, dont 8 % découle de l'incidence des acquisitions. La croissance restante s'explique avant tout par l'augmentation des revenus tirés des frais bancaires et sur cartes de crédit dans les pays de l'Alliance du Pacifique et par l'apport accru des participations dans des sociétés associées, du fait surtout de l'harmonisation de la période de présentation.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les revenus autres que d'intérêts ont augmenté de 97 millions de dollars ou de 10 %, dont une tranche de 6 % est attribuable à l'incidence des acquisitions. Les revenus tirés des frais bancaires et sur cartes de crédit plus élevés en Amérique latine ainsi que l'apport accru des participations dans des sociétés associées, du fait surtout de l'harmonisation de la période de présentation, ont été compensés en partie par la baisse des revenus tirés des activités de transaction et des frais sur les prêts aux entreprises.

Charges autres que d'intérêts
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 319 millions de dollars ou de 23 %, pour se chiffrer à 1 721 millions de dollars. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 19 %, dont 12 % découle de l'incidence des acquisitions. Le reste de l'augmentation de 7 % découle surtout de la croissance des volumes d'affaires, de l'inflation et de la hausse des dépenses en matière de technologies.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 230 millions de dollars ou 15 %. Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, les charges autres que d'intérêts ont monté de 14 % sous l'effet surtout des acquisitions.

Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 412 millions de dollars, contre 313 millions de dollars. La dotation au titre des prêts douteux s'est accrue de 153 millions de dollars en raison principalement de l'augmentation des dotations au titre des prêts aux particuliers, attribuable à la croissance des volumes, compte tenu des acquisitions, et à l'avantage de l'ajustement au titre des pertes sur créances au cours de l'exercice précédent. La dotation plus élevée du fait de la restructuration des titres d'emprunt de la Barbade a été contrée par les recouvrements à Porto Rico et en Amérique latine. La dotation au titre des prêts productifs a reculé de 54 millions de dollars, puisque l'incidence de la croissance dans le portefeuille de prêts aux particuliers a été plus que compensée par l'amélioration de la qualité du crédit. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établi à 105 points de base, en baisse de neuf points de base.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 412 millions de dollars, contre 746 millions de dollars. Si l'on exclut la dotation initiale sur les prêts productifs acquis comptabilisée au cours du trimestre précédent, la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a augmenté de 52 millions de dollars ou de 14 %. La dotation au titre des prêts douteux s'est accrue de 77 millions de dollars sous l'effet surtout de la hausse des dotations au titre des prêts aux particuliers et de l'incidence des acquisitions pour un trimestre complet, tandis que la dotation au titre des prêts aux entreprises a diminué en raison des recouvrements à Porto Rico et en Amérique latine, contrebalancés en partie par la hausse des dotations à la Barbade du fait de la restructuration des titres d'emprunt. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances au titre des prêts douteux a reculé de 13 points de base pour s'établir à 120 points de base. La dotation au titre des prêts productifs a diminué de 25 millions de dollars, en raison surtout de la reprise sur la dotation inscrite précédemment en lien avec les ouragans dans les Antilles, laquelle n'est plus nécessaire. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est chiffré à 105 points de base, en baisse de 18 points de base.

Impôt
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Le taux d'impôt effectif s'est établi à 19,7 %, par rapport à 23,2 % pour l'exercice précédent, ce qui s'explique surtout par les avantages fiscaux plus élevés au Mexique et à la baisse de l'impôt dans certains territoires étrangers.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Si l'on exclut les coûts liés aux acquisitions, le taux d'impôt effectif s'est fixé à 20,2 %, contre 22,3 %, ce qui s'explique principalement par les avantages fiscaux au Mexique et par la baisse de l'impôt dans certains territoires étrangers.

Actifs moyens
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les actifs moyens ont totalisé 193 milliards de dollars, en hausse de 48 milliards de dollars ou de 33 %, du fait de la robuste croissance des prêts dans les pays de l'Alliance du Pacifique, en raison notamment des acquisitions. La croissance des prêts aux particuliers a été de 31 % et celle des prêts aux entreprises, de 26 %.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les actifs moyens ont affiché une hausse de 18 %, du fait de la robuste croissance des prêts dans les pays de l'Alliance du Pacifique, en raison notamment des acquisitions. La croissance des prêts aux particuliers a été de 23 % et celle des prêts aux entreprises, de 17 %.

Passifs moyens
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les passifs moyens se sont fixés à 153 milliards de dollars, soit un accroissement de 34 milliards de dollars attribuable à la croissance de 17 % des dépôts surtout dans les pays de l'Alliance du Pacifique, en raison notamment des acquisitions. La croissance des dépôts d'entreprises a été de 18 % et celle des dépôts de particuliers, de 17 %.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les passifs moyens ont affiché une hausse de 25 milliards de dollars du fait de la croissance de 14 % des dépôts surtout dans les pays de l'Alliance du Pacifique, en raison notamment des acquisitions. La croissance des dépôts d'entreprises a été de 15 % et celle des dépôts de particuliers, de 13 %.

Services bancaires et marchés mondiaux

 

Bénéfice net
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a augmenté de 25 millions de dollars ou de 6 % pour s'élever à 416 millions de dollars. La réduction de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances, la diminution des charges autres que d'intérêts et l'incidence favorable de la conversion des devises ont été contrebalancées en partie par la baisse des revenus d'intérêts nets.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a reculé de 25 millions de dollars ou de 6 %, ce qui s'explique surtout par la baisse des revenus d'intérêts nets et des revenus autres que d'intérêts, de même que par la hausse des charges autres que d'intérêts, facteurs atténués par la diminution de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et de l'impôt.

Revenus d'intérêts nets
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les revenus d'intérêts nets se sont établis à 337 millions de dollars, ce qui représente un recul de 14 millions de dollars ou de 4 % attribuable à la diminution des commissions de montage de prêts et à la baisse des marges sur les dépôts et les prêts. La marge nette sur intérêts a diminué de 16 points de base, pour s'établir à 1,72 %.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les revenus d'intérêts nets ont diminué de 28 millions de dollars ou de 8 %. Cette diminution s'explique en grande partie par le recul de la marge sur les dépôts et la baisse des commissions de montage de prêts, neutralisés en partie par la hausse de la marge sur les prêts dans la plupart des régions. La marge nette sur intérêts s'est repliée de 10 points de base par rapport au trimestre précédent.

Revenus autres que d'intérêts
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les revenus autres que d'intérêts ont atteint 736 millions de dollars, soit un recul de 2 millions de dollars. La hausse des revenus tirés des activités de transaction a été plus que contrebalancée par la diminution des commissions de placement et des honoraires de services-conseils.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les revenus autres que d'intérêts ont reculé de 9 millions de dollars, ou de 1 %. Ce recul est principalement attribuable à la diminution des commissions de placement et des revenus tirés des frais sur cartes de crédit, en partie neutralisée par la hausse des revenus tirés des activités de transaction liées aux titres de capitaux propres.

Charges autres que d'intérêts
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les charges autres que d'intérêts, qui se sont établies à 553 millions de dollars, ont diminué de 16 millions de dollars ou de 3 %. Cette diminution s'explique avant tout par la baisse de la rémunération liée à la performance, en partie contrebalancée par la hausse des investissements liés à la réglementation et aux technologies.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les charges autres que d'intérêts ont augmenté de 10 millions de dollars ou 2 %, du fait surtout de la hausse des investissements liés à la réglementation et aux technologies, en partie contrebalancée par la baisse de la rémunération liée à la performance.

Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a reculé de 28 millions de dollars du fait de la reprise sur la dotation au titre des prêts douteux en Europe, atténuée par de nouvelles dotations aux États-Unis. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établi à un ratio négatif de neuf points de base, en baisse de 13 points de base.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a représenté une reprise nette de 20 millions de dollars, contre une reprise nette de 10 millions de dollars au trimestre précédent. La dotation au titre des prêts douteux a représenté une reprise nette de 17 millions de dollars en raison surtout des reprises plus élevées en Europe, compensées en partie par de nouvelles dotations aux États-Unis. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances au titre des prêts douteux s'est établi à un ratio négatif de sept points de base, en baisse de un point de base. La dotation au titre des prêts productifs a représenté une reprise nette de 3 millions de dollars sous l'effet essentiellement de l'amélioration de la qualité du crédit. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a reculé de quatre points de base pour s'établir à un ratio négatif de neuf points de base.

Impôt sur le résultat
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Le taux d'impôt effectif pour le trimestre à l'étude a atteint 22,9 %, comparativement à 23,8 %, ce qui s'explique principalement par la diminution des revenus dans certains territoires étrangers.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Le taux d'impôt effectif pour le trimestre s'est établi à 22,9 %, par rapport à 23,6 %. La baisse du taux d'impôt s'explique principalement par la diminution des revenus dans certains territoires étrangers.

Actifs moyens
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les actifs moyens se sont établis à 318 milliards de dollars, soit une baisse de 4 milliards de dollars ou de 1 %. Cette baisse s'explique essentiellement par la diminution des dépôts auprès d'autres banques et des titres détenus à des fins de transaction ainsi que par l'incidence de la conversion des devises.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les actifs moyens ont augmenté de 7 milliards de dollars ou 2 % en raison surtout de la hausse des titres pris en pension.

Passifs moyens
Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

Les passifs moyens se sont chiffrés à 259 milliards de dollars, ce qui représente un recul de 9 milliards de dollars ou de 3 % en raison de la diminution des titres mis en pension et de l'incidence de la conversion des devises, contrés en partie par les dépôts plus élevés.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

Les passifs moyens ont augmenté de 1 milliard de dollars, en raison surtout de l'accroissement des dépôts, contrebalancé en partie par la diminution des passifs dérivés.

Autres

 

Le secteur Autres regroupe la Trésorerie du Groupe, les secteurs d'exploitation de moindre envergure, les postes d'élimination des secteurs d'activité et d'autres éléments du siège social qui ne sont pas attribués à un secteur en particulier.

La majoration des revenus exonérés d'impôt est éliminée des revenus d'intérêts nets, des autres revenus d'exploitation et de la charge d'impôt sur le résultat de chaque période. Ce montant est pris en compte dans les résultats des secteurs, qui sont comptabilisés sur une base de mise en équivalence fiscale. L'élimination s'est établie à 31 millions de dollars pour le quatrième trimestre, comparativement à 81 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent et à 28 millions de dollars pour le trimestre précédent. Le revenu net découlant de participations dans des sociétés associées et la charge d'impôt sur le résultat de chaque période tiennent compte des ajustements de normalisation fiscale liés à la majoration des revenus des sociétés associées. Ces ajustements normalisent le taux d'impôt effectif des secteurs afin de donner une meilleure image de l'apport des sociétés associées aux résultats sectoriels.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du quatrième trimestre de 2017

La perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est chiffrée à 64 millions de dollars, contre une perte nette de 48 millions de dollars pour l'exercice précédent. Le fléchissement du profit net sur les titres de placement et la baisse des revenus tirés des activités de gestion de l'actif et du passif ont été atténués par une baisse des charges autres que d'intérêts.

Comparaison du quatrième trimestre de 2018 et du troisième trimestre de 2018

La perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établie à 64 millions de dollars, contre une perte nette de 107 millions de dollars au trimestre précédent. Cette amélioration s'explique en partie par la baisse des charges autres que d'intérêts et l'impôt moins élevé.

État consolidé de la situation financière

 

État consolidé du résultat net

 

État consolidé du résultat global

 

État consolidé des variations des capitaux propres

 

Tableau consolidé des flux de trésorerie

 

Base d'établissement
Les présents états financiers consolidés non audités ont été établis selon IFRS publiées par l'International Accounting Standards Board (IASB) et selon les exigences comptables fixées par le BSIF conformément à l'article 308 de la Loi sur les banques, excepté pour certaines informations requises. Par conséquent, ils doivent être lus parallèlement aux états financiers consolidés audités de la Banque pour l'exercice clos le 31 octobre 2018, qui pourront être consultés aujourd'hui à l'adresse banquescotia.com.

Énoncés prospectifs

À l'occasion, nos communications publiques comprennent des énoncés prospectifs verbaux ou écrits. Le présent document renferme ce genre d'énoncés, qui peuvent également être intégrés à d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières du Canada ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou à d'autres communications. De plus, des représentants de la Banque peuvent fournir verbalement des énoncés prospectifs à certains analystes, investisseurs, médias et autres intervenants. De tels énoncés sont formulés aux termes des règles d'exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et de toute loi pertinente sur les valeurs mobilières en vigueur au Canada. Les énoncés prospectifs peuvent comprendre, notamment, les énoncés formulés dans le présent document, dans le rapport de gestion de la Banque figurant dans son rapport annuel 2018 à la rubrique « Perspectives », ainsi que dans tout autre énoncé concernant les objectifs de la Banque, les stratégies qu'elle emploie pour les atteindre, le contexte réglementaire dans lequel la Banque exerce ses activités, ses résultats financiers prévisionnels et les perspectives à l'égard des activités de la Banque et de l'économie du Canada, des États-Unis et du monde entier. On reconnaît habituellement les énoncés prospectifs à l'emploi de termes ou d'expressions comme « croire », « prévoir », « s'attendre à », « envisager », « avoir l'intention de », « estimer », « projeter », « planifier », « viser » et autres expressions similaires ainsi que par la conjugaison des verbes au futur et au conditionnel comme « devrait » et « pourrait ».

Du fait de leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous posions des hypothèses et sont assujettis à des incertitudes et à des risques inhérents qui donnent lieu à la possibilité que les prédictions, les prévisions, les projections, les attentes ou les conclusions se révèlent inexactes, que nos hypothèses puissent être incorrectes et que nos objectifs de performance financière, notre vision et nos objectifs stratégiques ne puissent être atteints.

Nous conseillons aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces énoncés étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes, des cibles, des estimations et des intentions exprimées dans ces énoncés prospectifs en raison de divers facteurs de risque, dont plusieurs sont indépendants de notre volonté et dont l'incidence peut être difficile à prévoir.

Les résultats futurs liés aux énoncés prospectifs peuvent être influencés par de nombreux facteurs, dont, sans s'y limiter, les conditions générales de l'économie et du marché dans les pays où nous exerçons nos activités; les variations des taux de change et d'intérêt; la hausse des coûts de financement et de la volatilité en raison de l'illiquidité du marché et de la concurrence pour le financement; le défaut de tiers de respecter leurs obligations envers la Banque et envers les sociétés membres de son groupe; les changements apportés aux politiques monétaires, fiscales ou économiques et les modifications apportées aux lois fiscales et aux interprétations connexes; les changements apportés aux lois et à la réglementation ou aux attentes et exigences prudentielles, y compris les exigences et les lignes directrices relatives aux fonds propres, aux taux d'intérêt et à la liquidité, ainsi que l'incidence de ces changements sur les coûts de financement; les changements aux notations de crédit qui nous sont attribuées; le risque d'exploitation et le risque lié aux infrastructures; le risque de réputation; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que la Banque reçoit sur sa clientèle et ses contreparties; la mise au point et le lancement de nouveaux produits et services en temps opportun; notre capacité à réaliser nos plans stratégiques, notamment à mener à terme les acquisitions et les cessions, ce qui comprend l'obtention des approbations des autorités de réglementation; les principales estimations comptables et l'incidence des modifications des normes comptables, des règlements et des interprétations connexes sur ces estimations; l'activité sur les marchés financiers mondiaux; la capacité de la Banque à recruter, à former et à conserver des dirigeants clés; l'évolution de divers types de fraude ou d'autres activités criminelles auxquels la Banque est exposée; les perturbations et les attaques (notamment les cyberattaques) visant les technologies de l'information, l'accès au réseau ou les autres systèmes ou services de communication vocaux ou de données de la Banque ou visant internet; l'augmentation de la concurrence dans tous nos secteurs géographiques et d'activité, notamment en provenance de concurrents offrant des services bancaires par internet et par appareil mobile et de concurrents non conventionnels; l'exposition liée aux enjeux réglementaires et aux litiges importants; la survenance de catastrophes naturelles ou non et les réclamations découlant de ces événements; de même que la capacité de la Banque à prévoir et à gérer les risques que comportent ces facteurs. Une grande partie des activités de la Banque consiste à consentir des prêts ou à affecter autrement ses ressources à certains secteurs, entreprises ou pays. Tout événement imprévu touchant ces emprunteurs, secteurs ou pays risque d'avoir une incidence défavorable importante sur les résultats financiers de la Banque, sur ses activités, sur sa situation financière ou sur sa liquidité. Ces facteurs, et d'autres encore, peuvent faire en sorte que la performance réelle de la Banque soit, dans une mesure importante, différente de celle envisagée par les énoncés prospectifs. La Banque tient à préciser que la liste ci-dessus n'est pas une liste exhaustive de tous les facteurs de risque et autres facteurs potentiels pouvant avoir une incidence négative sur les résultats de la Banque. Pour plus de renseignements, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Gestion du risque » du rapport annuel 2018 de la Banque, compte tenu des ajouts figurant dans les rapports trimestriels. 

Les hypothèses économiques importantes sous-jacentes aux énoncés prospectifs figurant dans le présent document sont présentées dans le rapport annuel 2018 à la rubrique « Perspectives », compte tenu des ajouts figurant dans les rapports trimestriels. Ces rubriques « Perspectives » sont fondées sur les opinions de la Banque et leur réalisation est incertaine. Le lecteur est prié de tenir compte des facteurs susmentionnés à la lecture de ces rubriques. Lorsqu'ils se fient à des énoncés prospectifs pour prendre des décisions à l'égard de la Banque et de ses titres, les investisseurs et les autres personnes doivent se pencher diligemment sur ces facteurs, ainsi que sur d'autres incertitudes et éventualités.

Les énoncés prospectifs contenus dans le présent document reflètent l'avis de la direction à la date des présentes seulement et sont présentés dans le but d'aider les actionnaires de la Banque et les analystes à comprendre la situation financière de la Banque, ses objectifs et ses priorités ainsi que sa performance financière prévisionnelle aux dates indiquées et pour les périodes closes à ces dates, et ils peuvent ne pas convenir à d'autres fins. Sauf si la loi l'exige, la Banque ne s'engage pas à mettre à jour les énoncés prospectifs verbaux ou écrits qui peuvent être faits de temps à autre par elle ou en son nom.

Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y compris sa notice annuelle, sur le site Web de SEDAR, au www.sedar.com, ainsi que dans la section EDGAR du site Web de la SEC, au www.sec.gov.

Le 27 novembre 2018

Information à l'intention des actionnaires et des investisseurs

Service de dépôt direct
Les actionnaires qui le désirent peuvent faire déposer les dividendes qui leur sont distribués directement dans leurs comptes tenus par des institutions financières membres de l'Association canadienne des paiements. Pour ce faire, il suffit d'écrire à l'Agent des transferts.

Régime de dividendes et d'achat d'actions
Le régime de réinvestissement de dividendes et d'achat d'actions de la Banque Scotia permet aux actionnaires ordinaires et privilégiés d'acquérir d'autres actions ordinaires en réinvestissant leurs dividendes en trésorerie sans avoir à acquitter de frais de courtage ou d'administration. Les actionnaires admissibles ont également la possibilité d'affecter, au cours de chaque exercice, une somme ne dépassant pas 20 000 $ à l'achat d'actions ordinaires supplémentaires de la Banque. Tous les frais liés à la gestion du régime sont à la charge de la Banque. Pour obtenir des renseignements supplémentaires sur le régime, il suffit de communiquer avec l'Agent des transferts.

Dates de paiement des dividendes pour 2019
Dates de clôture des registres et de paiement des dividendes déclarés sur les actions ordinaires et privilégiées, sous réserve de l'approbation du conseil d'administration.

 

Date d'assemblée annuelle pour l'exercice 2018
Les actionnaires sont invités à assister à la 187^e assemblée annuelle des actionnaires ordinaires qui se tiendra le 9 avril 2019 au ScotiaBank Centre, Scotia Plaza, situé au 40, rue King Ouest, 2^e étage, à Toronto, en Ontario, et qui débutera à 9 h (heure locale). Le 12 février 2019, à la fermeture des bureaux, est la date de clôture des registres à laquelle il sera déterminé quels sont les actionnaires ayant le droit de recevoir un avis de convocation à l'assemblée générale annuelle et de voter à cette assemblée.

Envoi de documents en plusieurs exemplaires
Si vos portefeuilles d'actions sont inscrits sous plus d'un nom ou plus d'une adresse, vous recevrez plusieurs exemplaires. Pour éviter l'envoi des documents en plusieurs exemplaires, veuillez écrire à l'agent des transferts afin de regrouper les comptes.

Offre de rachat dans le cours normal des activités
Un exemplaire de l'avis d'intention visant le lancement de l'offre de rachat dans le cours normal des activités peut être obtenu sans frais en communiquant avec le service Relations avec les investisseurs au 416-775?0798 ou à l'adresse [email protected].

États financiers annuels
Les actionnaires peuvent obtenir sur demande et sans frais une copie papier des états financiers consolidés annuels audités de l'exercice 2018 de la Banque Scotia et du rapport de gestion s'y rattachant en communiquant avec le service Relations avec les investisseurs au 416?775?0798 ou à l'adresse [email protected].

Site Web
Pour obtenir des renseignements concernant la Banque Scotia et ses services, visitez notre site Web, au www.banquescotia.com.

Conférence téléphonique et diffusion sur le Web
La conférence téléphonique sur les résultats trimestriels aura lieu le 27 novembre 2018 à 8 h (heure normale de l'Est) et devrait durer environ une heure. Les parties intéressées sont invitées à accéder à la conférence directement, en mode écoute seulement, par téléphone au 416?849?3997 ou au 1-800-289-0462 (sans frais en Amérique du Nord) et en saisissant le code 950939, suivi du carré (#) (veuillez téléphoner 5 à 15 minutes à l'avance). Une diffusion audio sur le Web avec les diaporamas afférents sera accessible par l'intermédiaire de la page Relations avec les investisseurs, au www.banquescotia.com. Une période de questions suivra la présentation des résultats par la haute direction de la Banque Scotia.

Une transmission différée par téléphone de la conférence téléphonique sera disponible du 27 novembre 2018 au 12 décembre 2018, en composant le 647-436-0148 ou le 1-888-203-1112 (sans frais en Amérique du Nord) et en saisissant le code d'accès 6751615, suivi du carré (#). La diffusion audio sur le Web sera disponible sur le site Web de la Banque pendant trois mois.

Coordonnées

 

Quarterly Reports available in English
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SOURCE Scotiabank

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Communiqué envoyé le 27 novembre 2018 à 06:01 et diffusé par :