TORONTO, le 23 nov. 2017 /CNW/ - Nestlé Canada a publié aujourd'hui les conclusions d'une étude, la première en son genre, examinant les perceptions des Canadiens quant aux organisations multinationales. Les données démontrent clairement que, bien que les Canadiens soient conscients de la contribution des multinationales au pays, les organisations sont confrontées à des demandes et à des attentes plus sévères pour ce qui est de l'exercice de leurs activités dans les collectivités locales, et on s'attend à ce que la pression augmente à mesure que le Canada connaîtra des changements démographiques et que sa population s'accroîtra au cours des prochaines années.
«Étonnamment, très peu de recherches ont eu lieu sur la perception des multinationales au Canada», a déclaré Shelley Martin, présidente et chef de la direction de Nestlé Canada. «Nous voulions découvrir exactement ce qui importe le plus aux Canadiens lorsqu'ils font affaire avec de grandes sociétés, dont la nôtre. Nous espérons que cette étude fournira aux multinationales des données qui les aideront à mettre leurs atouts globaux au service des collectivités canadiennes, afin de devenir des organisations "glocales" plus efficaces.»
Pour Nestlé, être une entreprise «glocale» signifie avoir la taille, l'échelle et l'expertise mondiale nécessaires afin d'offrir aux Canadiens les meilleurs produits et services du monde entier, mais les offrir aux populations locales, dans les usines locales, avec des ingrédients locaux, et de manière responsable et durable.
La recherche, menée par Pollara, indique que les Canadiens perçoivent les multinationales positivement et croient qu'elles contribuent au tissu social et économique du pays.
D'après l'étude, les Canadiens accordent beaucoup d'importance à la capacité qu'ont les multinationales de fournir des produits de qualité supérieure, et la plupart sont d'avis que les multinationales fournissent des produits de plus grande qualité à des prix plus concurrentiels que les petites entreprises locales.
D'importants obstacles subsistent sur le plan de la réputation
L'étude a toutefois aussi révélé que les multinationales éprouvaient d'importantes difficultés à se faire accepter des Canadiens, la majorité d'entre eux étant d'avis que les multinationales doivent mieux exprimer en quoi leurs valeurs répondent aux attentes des consommateurs.
Qui plus est:
«Au Canada, et partout dans le monde, on a le sentiment qu'il est difficile d'aimer les entreprises après qu'elles ont dépassé une certaine taille, malgré leur grande contribution à l'économie», a affirmé Mme Martin. «Pour surmonter cet obstacle, les multinationales doivent se concentrer sur la pertinence locale, faire preuve d'une transparence accrue à savoir où et comment ils font des profits et communiquer clairement en quoi elles ont une incidence positive, peu importe où elles exercent leurs activités.»
La diversité du Canada: à la fois un défi et une chance
L'étude a également révélé que la diversité croissante du Canada, bien qu'elle constitue une force, présente un défi de taille pour les multinationales. Des points de vue régionaux distincts aux préférences divergentes selon l'âge, il faut travailler plus fort qu'autrefois pour satisfaire aux besoins d'une multitude d'intervenants.
D'un point de vue régional, l'étude a permis de démontrer ce qui suit.
Sur le plan de la diversité parmi les différents groupes d'âge, les répondants membres de la génération Y perçoivent étonnamment les multinationales plus favorablement que leurs homologues baby-boomers. Les membres de la génération Y sont plus susceptibles que les Canadiens âgés de reconnaître le mérite des entreprises mondiales pour les points suivants:
Fait intéressant, les membres de la génération Y sont moins susceptibles que les baby-boomers de considérer les entreprises locales comme ayant l'esprit d'entreprise (49% par opposition à 64% chez les baby-boomers), comme étant orientées vers les gens (54% par opposition à 70%), novatrices (22% par rapport à 41%) ou florissantes (10% par opposition à 24%).
La voie à suivre
Madame Martin fait observer que les données de l'étude semblent indiquer que les multinationales au Canada sont dans la bonne voie, mais qu'il en reste encore beaucoup à faire pour aligner les perceptions sur la réalité qu'elles apportent une contribution considérable aux collectivités. Pour ce faire, elles doivent mettre à contribution tous les réseaux et les technologies afin de nouer des liens efficaces avec un groupe d'intervenants de plus en plus diversifié.
«Nous devons adopter une approche plus proactive, communiquer clairement notre raison d'être et nos valeurs», a renchéri Mme Martin. «Les multinationales ont la possibilité de montrer à nos collectivités en quoi nos ressources et nos perspectives en tant qu'entités mondiales complètent celles de nos entreprises locales, contribuant à enrichir la vie de tous les intervenants avec qui nous traitons.»
À propos de Nestlé au Canada
Forte de plus d'un siècle de recherche et d'expertise, Nestlé Canada désire devenir l'entreprise des secteurs de l'alimentation et de la nutrition la plus fiable et la plus respectée au Canada, celle qui permet aux Canadiens de «Mieux manger. Mieux vivre». Au Canada, Nestlé fabrique des produits dont les marques sont les plus reconnues et les plus appréciées dans le monde entier, notamment NESQUIK, NESTLÉ BON DÉPART, HÄAGEN-DAZS, KIT KAT, NESCAFÉ, NESTLÉ PURE LIFE, NESTLÉ DRUMSTICK, STOUFFER'S, CUISINE MINCEUR et Nestlé Purina BENEFUL. Nestlé compte environ 3 500 employés travaillant dans quelque 20 établissements, bureaux de vente et centres de distribution au Canada. De plus amples renseignements et plus de détails sont disponibles à l'adresse www.corporate.nestle.ca.
À propos de l'étude
L'étude « glocale » de Nestlé a été réalisée par Pollara Strategic Insights au moyen d'un sondage en ligne entre le 26 juillet et le 2 août 2017, auprès d'un échantillon en ligne de 1 201 Canadiens adultes. On a pondéré les données en fonction des renseignements du dernier recensement canadien afin d'assurer une bonne représentation sur le plan de l'âge, du sexe et de la région. La marge d'erreur pour un échantillon probabiliste de 1 201 est de 2,8%, 19 fois sur 20.
SOURCE Nestle Canada Inc.
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