La RIAA s'attaque à nouveau à ceux qui distribuent gratuitement de la musique ou qui diffusent par Internet du contenu protégé par des droits d'auteurs, tout comme les radios qui diffusent via le Web. Fort heureusement, un règlement à l'amiable pourrait éviter des millions de dollars en frais juridiques aux deux parties.
Les diffuseurs par Internet soutiennent que des poursuites en justice causeraient la mort de cette industrie fleurissante, où les profits ne frappent pas encore à leurs portes. Une entente hors-cour serait donc à souhaiter plutôt qu'un arbitrage, un processus très long et coûteux.
Des ententes sur les montants que devront verser les grands diffuseurs, tel que Yahoo, America Online, Microsoft et RealNetworks aux musiciens en 2003 et 2004 ont déjà été conclues; il ne reste que l'accord de l'organisme de réglementation américain.
L'année dernière, plusieurs stations de radio Web avaient fait
des silences radio durant une journée.
La retransmission de stations de radio via Internet ou des stations uniquement disponible sur le Web gagne de plus en plus en popularité. Il devait donc y avoir un moratoire sur ces services pour donner une réglementation fixe aux diffuseurs.