Peut-être s'agissait-il d'une plaisanterie pour son professeur, mais une élève britannique de 13 ans a remis sa dissertation écrite complètement en langage SMS (Short Message Service).
Sur la page, le texte était illisible puisqu'il ne renfermait que des signes et abréviations utilisés dans les SMS. Très populaire auprès des jeunes, ce service de messagerie abrégée permet d'envoyer des messages courts grâce à son téléphone cellulaire numérique. Cette popularité expliquerait que la jeune fille ait eu la tentation de remettre son travail dans ce langage abrégé.