C'est pour consolider ses activités non rentables et produire de meilleurs résultats financiers que
Sega avait d'abord décidé de fermer son service de connexion à Internet aux États-Unis. Le Japon fini par y goûter lui aussi, la compagnie préférant se concentrer en éditeur de jeux vidéo.
La division américaine s'est déjà mise cet automne sous la protection du régime des faillites et celle de l'Europe procédait déjà à sa liquidation. Quant à son partenaire japonais
Isao Corp., ils ont bien l'intention de vendre les parts qu'ils possèdent et de leur confier les services d'accès à Internet et de jeux en réseau.
Celui qui a donc abandonné la fabrication de console de jeux a perdu des dizaines de milliers de yens à cause de son FAI. Le directeur de l'exploitation espère donc atteindre son objectif de 45 milliards de yens (330 millions$US) de bénéfice pour 2003/2004.
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