Fin des années 80: un justicier défendait MetroCity dans la populaire série animée japonaise
AstroBoy ou en français
Astro, le petit robot. Ce robot habillé de petites bottes rouges et d'un slip moulant, n'était pas moins qu'un garçonnet robot créé par un scientifique en deuil d'un enfant. Le grand-père de l'animation japonaise est maintenant devenu le nouveau produit Sega, sorti en mars dernier au Japon et devant se retrouver en août sur les tablettes des grands magasins aux États-Unis.
Astro, robot gadget, presqu'un canif de l'armée Suisse, revient donc en force muni de rétrofusées aux pieds et se présente comme un athlète sportif supersonique doté d'un cerveau ordinateur hyper puissant et de yeux infrarouges. Sa mission est évidemment de combattre les méchants et de découvrir le terrible secret de ses tragiques origines.
D'après les critiques observées par les amateurs de ce genre de jeu, Astro est tout à fait divertissant et la qualité des images graphiques classe bien le jeu parmi la gamme déjà existante des superhéros. MetroCity devient alors un terrain de guerre où Astro doit combattre des ennemis hors de l'ordinaire, produisant des batailles spectaculaires, l'élément le plus réussi du jeu. Énigmes et détours, composés de mini-jeux, donnent l'occasion d'essayer diverses innovations que l'on retrouve dans Astroboy.
Les clés de la console de jeu sont dites très malléables et permettent, grâce à une variété de combinaisons de boutons, d'expérimenter plus aisément les options offertes. Bref, AstroBoy est recommandé pour les nostalgiques et pour les amateurs du genre, de préférence pour jeunes joueurs.