Le Lézard
Sujets : Première Nation, DEI

L'émerveillement au coeur de la programmation 2024 au MNBAQ


Foisonnement d'activités dans le pavillon Pierre Lassonde

QUÉBEC, le 9 janv. 2024 /CNW/ - Alors que l'exposition Voir la nuit bat son plein, jusqu'au 17 mars 2024, séduisant tous ceux et celles qui osent faire l'expérience sensorielle du thème universel de la nuit et des nocturnes, le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) est fier d'annoncer que l'émerveillement sera au coeur de toutes les aventures proposées en 2024.

Un panorama riche et diversifié attend les visiteuses et les visiteurs du Musée animés par la force de l'expérience muséale in situ. Ces derniers pourront véritablement aller d'un émerveillement à un autre.

Dès le 16 février, l'exposition Générations. La famille Sobey et l'art canadien, constituée des oeuvres de la remarquable collection Sobey, s'arrêtera à Québec, seule destination québécoise. Forte et foisonnante, grâce aux nombreux artistes de renom présentés, cette exposition offrira une perspective inédite sur la créativité canadienne d'hier et d'aujourd'hui. Les 175 oeuvres rassemblées, racontant les petites histoires au coeur de la grande histoire de notre pays, proposeront un fabuleux voyage d'émotions d'un océan à l'autre.

De plus, le public découvrira, aussi en février, que l'art peut devenir un outil d'engagement et d'inclusion à travers Tarratuutiq | Taima. Réflexions artistiques et climatiques du Nunavik. Réalisée en partenariat avec l'École Iguarsivik de Puvirnituq (village nordique du Nunavik), cette exposition est le fruit d'une activité de médiation en art et mieux-être ayant comme objectif la réinterprétation sensible des oeuvres des collections du Musée. Les créations, issues de cette rencontre inattendue entre une communauté autochtone éloignée et le MNBAQ, sont particulièrement touchantes et percutantes.

Dès le mois d'avril, l'exposition internationale Rembrandt. Gravures du Museum Boijmans Van Beuningen comblera le public curieux d'aller à la rencontre de l'un des grands maîtres de l'art européen, le peintre et graveur : Rembrandt van Rijn (1606-1669). Empreintes d'humanisme et de modernité, les 80 oeuvres rares et remarquables de celui considéré comme l'un des plus grands graveurs de tous les temps rendront ce rendez-vous incontournable.

En juin, le public aura le privilège de découvrir l'exposition Helen McNicoll. Impressions de voyages, qui mettra en lumière une artiste méconnue, mais absolument fascinante : Helen McNicoll. Née à Toronto à la fin du 19e siècle, elle a grandi à Montréal dans un milieu aisé, favorable à la pratique artistique. À une époque où les femmes sont le plus souvent confinées à la domesticité, Helen McNicoll se distingue par sa mobilité, son amour du voyage et de la découverte de nouveaux espaces. Place à une magnifique rétrospective de l'artiste, qui rassemblera autour de 60 peintures, des esquisses et des photographies, place à une oeuvre majeure et ses splendeurs lumineuses.

À l'automne, l'art autochtone canadien sera à l'honneur grâce à Early Days, une exposition organisée par la Collection McMichael d'art canadien en collaboration avec des autochtones de tous les horizons soit : des spécialistes universitaires, des gardiennes et des gardiens du savoir traditionnel ainsi que des artistes vivants. Ce formidable kaléidoscope, élaboré à partir des plus récentes recherches, témoigne de la diversité et de la vitalité de l'art autochtone du 18e siècle à nos jours. Une occasion rarissime d'explorer notre relation à la terre, à nos ancêtres et aux autres.

La nouvelle programmation du MNBAQ rejoindra les valeurs si chères à nos équipes, soit des rencontres avec l'art aussi pertinentes qu'émouvantes, en restant sensible aux tendances et aux intérêts sociétaux. La richesse des expositions proposées à toutes nos visiteuses et à tous nos visiteurs contribuera certainement à rendre l'année 2024 meilleure, voire remarquable.

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Des expositions riches de sens
Générations. La famille Sobey et l'art canadien

Du 16 février au 12 mai 2024

Parmi les collections canadiennes remarquables, celle de la famille Sobey de Stellarton, en Nouvelle-Écosse, se distingue, car elle permet de découvrir nombre de figures emblématiques de l'histoire de l'art canadienne.

Réunies à Québec pour la toute première fois, les 175 oeuvres phares constituant l'exposition Générations. La famille Sobey et l'art canadien proposent plusieurs artistes incontournables : le peintre du 19e siècle Cornelius Krieghoff; les artistes du Groupe des Sept et leurs contemporains du 20e siècle David Milne et Emily Carr; des maîtres de l'art québécois depuis Maurice Cullen et Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté aux peintres abstraits Jean Paul Riopelle et Paul-Émile Borduas; ainsi que des grands artistes contemporains du jour comme Brenda Draney, Brian Jungen, Ursula Johnson et Kent Monkman, dont bon nombre ont reçu le prix Sobey pour les arts.

S'inspirant du principe de collectionnement, l'exposition vient tisser des liens inédits et surprenants entre les artistes. Ainsi, les visiteuses et les visiteurs découvriront des oeuvres du peintre contemporain Peter Doig juxtaposées à celles du peintre du 20e siècle David Milne. Des artistes de l'Ontario et du Québec partageront eux aussi le même espace, faisant fi de la ségrégation imposée par les historiennes et les historiens de l'art au fil des ans. Enfin, de nouveaux rapports sont établis entre des artistes dont les oeuvres se répondent malgré leurs différences, on pense à Emily Carr et Arthur Lismer ou encore à James Wilson Morrice et Jean Paul Lemieux.

Élaboré autour de 10 thématiques inspirées, ce panorama de la créativité canadienne, d'hier et d'aujourd'hui, trouve son expression dans des paysages, des récits personnels et des révisions percutantes de l'histoire du Canada. Tout pour assouvir notre soif de beauté et de voyages intemporels au coeur de notre majestueux pays.

Tarratuutiq | Taima
Réflexions artistiques et climatiques du Nunavik

Du 29 février au 2 juin 2024

En plaçant l'humain au coeur de ses actions et en valorisant la diversité, l'accessibilité et l'inclusion, le MNBAQ voit naître des projets insoupçonnés. L'exposition Tarratuutiq | Taima. Réflexions artistiques et climatiques du Nunavik est un exemple éloquent qui permettra d'aller à la rencontre d'une communauté autochtone éloignée.

Issu d'une activité de médiation en art et mieux-être, réalisée en partenariat avec l'École Iguarsivik de Puvirnituq au Nunavik, ayant pour objectif la réinterprétation sensible des oeuvres des collections du MNBAQ, le processus a permis la création de 10 oeuvres touchantes. À partir des oeuvres de Marie-Fauve Bélanger, de Jacinthe Carrier, de Raphaëlle de Groot et d'Alfred Pellan, pour ne nommer que celles-là, les jeunes Inuits ont illustré avec force et créativité les enjeux des changements climatiques auxquels ils sont confrontés quotidiennement.

Source de grande fierté, le projet Tarratuutiq (signifiant miroir en inuktitut) a donc donné naissance à l'exposition Taima (C'est assez!). Après avoir été exposées à l'intérieur de l'école et sur les murs des bâtiments publics de Puvirnituq, encourageant la communauté à l'action, elles s'imposeront dans le Grand hall du pavillon Pierre Lassonde du MNBAQ en 2024. Les 10 formats photographiques géants auront tout pour marquer l'imaginaire. Réfléchie avec et pour la communauté inuite, Tarratuutik | Taima. Réflexions artistiques et climatiques du Nunavik offre une tribune au Nord aussi bien qu'au Sud pour réfléchir collectivement des enjeux universels en utilisant l'art comme outil d'engagement.

Rembrandt. Gravures du Museum Boijmans Van Beuningen

Du 25 avril au 2 septembre 2024

Fier de s'inscrire parmi les circuits internationaux de prestige, en présentant l'exposition Rembrandt. Gravures du Museum Boijmans Van Beuningen en exclusivité canadienne, le MNBAQ permettra au public d'aller à la rencontre de Rembrandt van Rijn (1606-1669), grand maître de l'art européen, peintre et graveur.

Figure majeure du Siècle d'or néerlandais, l'artiste a apporté une contribution décisive à l'épanouissement de l'art baroque, il est reconnu notamment pour son traitement très personnel du clair-obscur et pour son humanisme d'une grande modernité. Célébré pour sa puissance d'imagination et sa grande richesse émotive, l'art de Rembrandt est universellement admiré depuis le 17e siècle.

Rembrandt, maître absolu de la gravure

Profondément novateur, Rembrandt a révolutionné l'art de la gravure, en adoptant une approche résolument expérimentale, exploitant le procédé au maximum de ses possibilités. À l'instar de Dürer, de Goya ou de Picasso, Rembrandt est considéré comme l'un des plus grands graveurs de tous les temps. Il exécuta certaines des oeuvres les plus célèbres de l'histoire du médium, et son impact sur la discipline demeure toujours pertinent aujourd'hui. L'exposition présentera les gravures célèbres de Rembrandt, celles qui ont fait la réputation de l'artiste à travers les siècles.

Des oeuvres rares et remarquables

Les 80 oeuvres sélectionnées offriront un panorama qui rend manifeste la virtuosité exceptionnelle de Rembrandt comme graveur dans toutes ses dimensions : humaine, esthétique et technique. L'exposition comprendra les plus grands chefs-d'oeuvre de l'artiste -- La Pièce aux cent florins (vers 1648), Les Trois Croix (1653), La Petite Tombe (vers 1657) -- ainsi que plusieurs autres pièces de très haute qualité. Tous les sujets abordés par Rembrandt seront présentés dans l'exposition. Ses autoportraits, ses estampes religieuses, ses paysages, ses portraits et ses scènes de genre montrent toute la diversité de la société hollandaise de l'époque, où Amsterdam -- ville florissante et cosmopolite, brillant foyer de vie intellectuelle et artistique-- était une des grandes puissances européennes du 17e siècle.

Parmi les compléments, une touche québécoise

L'exposition montrera aussi quelques oeuvres d'autres artistes dont Rembrandt s'est inspiré, ainsi que des travaux de certains de ses élèves et collaborateurs. On pourra également voir quelques tirages posthumes des oeuvres du maître, et ainsi comparer les estampes originales à des versions plus tardives.

En complément, quelques oeuvres d'artistes québécois des collections du MNBAQ s'ajouteront au riche corpus hollandais : des oeuvres inspirées de la pratique de Rembrandt et de l'art hollandais du Siècle d'or, que ce soit au niveau de l'iconographie et du style ou encore illustrant l'utilisation si particulière du clair-obscur.

L'exposition, réalisée grâce à un généreux prêt du Museum Boijmans Van Beuningen, Rotterdam (Pays-Bas), et qui fera briller le MNBAQ au printemps et à l'été 2024, est rendue possible grâce à l'Entente de développement culturel entre le gouvernement du Québec et la Ville de Québec, provenant de la Mesure d'aide financière à l'intention des musées d'État pour des expositions internationales majeures.

Helen McNicoll. Impressions de voyages

Du 20 juin 2024 au 5 janvier 2025

Très attendue, la rétrospective consacrée à l'artiste canadienne Helen McNicoll (1879-1915) mettra en lumière le travail d'une peintre libre connue pour sa mobilité transatlantique, qui a su repousser les limites en tant que femme professionnelle indépendante, à une époque où celles-ci étaient souvent confinées à l'univers domestique.

Incroyable destin

Méconnue du public, Helen McNicoll est née à Toronto, puis a grandi à Montréal dans un milieu aisé, favorable à la pratique artistique. Devenue sourde à l'âge de deux ans des suites d'une scarlatine, elle est encouragée par ses parents à développer sa créativité artistique et musicale malgré son handicap.

Helen McNicoll s'est distinguée par son amour du voyage et de la découverte de nouveaux espaces. Son rapport au monde et sa production artistique sont certainement liés au tourisme naissant au tournant du 20esiècle. Ses voyages en Europe et de nombreuses expositions lui donneront une connaissance privilégiée des développements de l'impressionnisme et du postimpressionnisme.

L'artiste jouera aussi un rôle important dans la connexion des mondes de l'art d'Amérique du Nord et d'Europe, célébrée de son vivant pour la grande qualité de ses paysages ruraux ou balnéaires inondés de lumière et ses scènes intimistes où les sujets féminins prédominent.

Trop court, mais prolifique, le parcours d'Helen McNicoll a été marqué par la présentation de dizaines d'oeuvres lors d'expositions au Canada et en Angleterre, lui permettant de remporter des prix pour sa maîtrise magistrale de la lumière et sa touche picturale unique. Parmi les distinctions, elle fut l'une des rares femmes élues membres associés de l'Académie royale des arts du Canada en 1914.

Le voyage comme mode de vie

Faisant de Londres son port d'attache, McNicoll a voyagé à travers l'Angleterre et l'Europe, tout en multipliant les voyages au Canada.

Privilégiant la peinture en plein air et les recherches sur les effets de lumière et d'atmosphère, effets nourris par ses nombreux voyages notamment en France, en Belgique et en Italie, aussi bien que dans des colonies d'artistes, elle n'a pas hésité à raffiner sa palette en atelier.

Par le prisme du voyage, l'exposition proposera aussi d'interroger les thèmes de l'indépendance féminine, de la prise de risques, de la sororité, et de la liberté des femmes, dans le contexte passionnant des luttes des suffragettes anglaises pour le droit de vote.

Une célébration de la lumière

Toujours en mouvement, l'artiste a su capter son environnement en constante évolution de façon remarquable. En Bretagne, McNicoll a peint des scènes de marché de village aux tons de miel; à Venise, elle a porté son attention sur les eaux scintillantes des canaux. Le sable chaud et le ciel bleu des plages méditerranéennes offrent une toile de fond propice aux femmes et aux filles vêtues de robes blanches éclatantes.

Les sujets de prédilection de McNicoll ont été les scènes de la vie quotidienne, bien qu'elle soit parvenue à en donner une interprétation distincte des impressionnistes, en se centrant davantage sur le labeur féminin.

Helen McNicoll. Impressions de voyages réunira les plus belles peintures de l'artiste : La Glaneuse (1908), Evening Street Scene (1910), La vendeuse de fruits (1910), Footbridge in Venise (vers 1910), Sur la plage (1912), The Chintz Sofa (1913) pour ne nommer que celles-là. Des quelque 65 oeuvres rassemblées, une importante sélection arrive de la collection de Pierre Lassonde, mécène et passionné d'art, alors que les autres proviennent d'une quinzaine de prêteurs institutionnels et privés. Des esquisses, des carnets de dessins et des photographies complèteront ce voyage inédit, qui a tout pour charmer en période estivale.

Early days (titre provisoire)

Du 17 octobre 2024 au 4 mai 2025

Première exposition sur l'art autochtone canadien à circuler sur la scène internationale Early Days sera présentée en exclusivité québécoise au MNBAQ à l'automne 2024. Elle proposera un vaste et riche panorama de l'art des Premières Nations d'hier à aujourd'hui.

Orchestrée par la Collection McMichael d'art canadien, en collaboration avec des intervenantes et des intervenants autochtones - des spécialistes universitaires et des artistes vivants -, l'exposition rassemble des éléments d'art historique ainsi que des oeuvres d'artistes contemporains en provenance de tout le territoire canadien.

Mettant en valeur toute la diversité et la vitalité de l'art autochtone au Canada, Early Days permettra d'apprécier des objets allant des insignes de cérémonie du 18e siècle aux oeuvres des artistes autochtones actuels, en passant par le travail des créateurs avant-gardistes des années 1960, 1970 et 1980, des oeuvres significatives de différentes époques témoignant du savoir-faire autochtone. L'exposition comprendra également des acquisitions récentes.

Près d'une cinquantaine d'artistes, issus de nations autochtones de partout au Canada, participeront à cette exposition. Parmi ces artistes : Caroline Monnet (Première Nation anishnabe/France), Norval Morrisseau (Première Nation anishnabe), Nadia Myre (Première Nation algonquine), Meryl McMaster (Première Nation crie des plaines), Kent Monkman (Première Nation crie), Shuvinai Ashoona, Annie Pootoogook, Pudlo Pudlat, Nick Sikkuark (Inuit), Dana Claxton (Première Nation Wood Mountain Lakota), Lawrence Paul Yuxweluptun (Première Nation Cowichan/Syilx), Carl Beam (Première Nation ojibwée), Robert Houle (Première Nation anishnabe saulteaux) et Faye HeavyShield (Première Nation Káínawa), pour ne nommer que ceux-là.

Cette exposition majeure explorera également notre relation à la terre, à nos ancêtres ainsi que les liens des uns envers les autres. Un rendez-vous nécessaire avec ces cultures fascinantes et méconnues au coeur de notre histoire.

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Myriade d'activités culturelles

L'année 2024 n'y fera pas exception, le MNBAQ multipliera les activités culturelles appréciées par toutes les visiteuses et tous les visiteurs qui aiment multiplier les passages au Musée.

Au grand plaisir des habitués, comme de celles et ceux qui rêvent d'y assister, deux 5@9 du MNBAQ s'ajoutent à la programmation de ce début d'année, en écho à l'exposition Voir la nuit : Veiller la nuit, le 24 janvier et Osez! La nuit, le 28 février

UNE OEUVRE CÉLÉBRÉE : Marcelle Ferron

Pour lancer l'année de belle façon, une programmation toute spéciale s'amorce dès le 29 janvier 2024 pour souligner le centenaire de l'anniversaire de Marcelle Ferron, cette artiste majeure de l'histoire de l'art du Québec, signataire du Refus global.

Le public pourra d'abord découvrir une oeuvre choisie permettant aux guides du Musée d'en révéler tous les secrets durant cette semaine de célébrations. Parmi les activités proposées : un concert du Quatuor Molinari, spécialistes de la musique des 20e et 21e siècles, célébrera l'effervescente expérimentation artistique au Québec depuis la parution du manifeste radical du Refus global; un documentaire Ferron, Marcelle, sera présenté, brossant le portrait de l'artiste québécoise, femme rebelle, peintre solitaire, artiste farouchement indépendante; un atelier de création, une conférence d'Eve-Lyne Beaudry, conservatrice de l'art contemporain (1950 à 1999), une soirée art et mieux-être inspirée de l'oeuvre de Ferron, etc.

Parmi les incontournables

Une série de grandes conférences, d'ateliers multiformes, de visites et d'expériences guidées destinées à différents publics dont, les populaires Muséo-poussette ainsi qu'une nouvelle visite destinée aux tout-petits (âgés de 2 à 4 ans), des concerts classiques, Série des professeurs et des concerts midi, Série des élèves viendront ravir tous les amateurs et les amatrices de culture.

Au printemps 2024, le FIFA, Festival International du Film sur l'Art, est de retour du 16 au 24 mars pour une nouvelle édition haute en couleur. Et la relâche au MNBAQ sous le thème Voir grand devrait ravir petits et grands qui aiment l'exploration muséale sous toutes ses formes. L'année 2024 sera des plus stimulantes!

Le Musée national des beaux-arts du Québec est une société d'État subventionnée par le gouvernement du Québec.

SOURCE Musée national des beaux-arts du Québec



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