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L'Association canadienne de vapotage prévient le Québec que les recommandations de vapotage mal informées de la députée Ciccone seraient un désastre de santé publique


BEAMSVILLE, Ontario, 02 mars 2023 (GLOBE NEWSWIRE) -- Le député Enrico Ciccone a récemment imploré le ministre de la Santé Christian Dube de mettre en oeuvre les 7 recommandations d'un rapport de santé publique sur le vapotage. Ces recommandations comprennent l'interdiction des produits de vapotage aromatisés, l'exigence d'un permis pour vendre des produits de vapotage, la limitation du nombre de magasins de vapotage près des écoles et la mise en oeuvre d'une taxe sur les produits de vapotage.

Dans un effort pour marquer des points politiques bon marché, ou une incompréhension complète du rôle de la réduction des méfaits, le député Ciccone a qualifié les produits de vapotage de déchets et de danger pour la jeunesse du Québec. « Quelqu'un ne pensera-t-il pas aux enfants? » est une tactique rhétorique aussi vieille que le temps. La panique morale est devenue le ton de tous les discours médiatiques sur le vapotage. Les nouvelles négatives alimentent les points de vue, incitant les médias à couvrir rarement les avantages du vapotage pour la santé publique. La science a rattrapé le vapotage et elle ne soutient pas les dommages précédemment revendiqués par les groupes anti-vapotage. Ceci à son tour, a forcé ces organisations à tenter de faire avancer leur programme en forçant leur mentalité prohibitionniste et moraliste sur le reste d'entre nous. En l'espèce, cependant, nous convenons que les interdictions de saveurs et d'autres politiques prohibitionnistes sont une question morale. Il est certainement immoral de condamner 13 000 fumeurs québécois chaque année à une mort prématurée alors que le vapotage s'est avéré être l'aide à l'arrêt du tabac la plus efficace. Nous remettons également en question la moralité d'interdire un élément clé d'un produit de réduction des méfaits, poussant sciemment de nombreux anciens fumeurs à revenir à une dépendance qui tue la moitié de ses utilisateurs. De plus, nous remettons en question la moralité d'interdire à l'industrie du vape de participer à des conférences et à des consultations sur la réduction des méfaits, tout en permettant aux sociétés pharmaceutiques dont les ventes de produits sont touchées par la réglementation permissive du vapotage de parrainer ces événements. Enfin, nous aussi une objection morale à l'interdiction d'un produit qui sauve des vies et au mépris négligent pour la vie des fumeurs.

Partout dans le monde, les gouvernements doivent à leurs citoyens de définir le risque relatif de vapotage. Le vapotage de la nicotine s'est avéré beaucoup moins nocif que le tabagisme. Public Health England a pour la 7e année consécutive réaffirmé que les méfaits du vapotage sont peu susceptibles de dépasser 5% du tabagisme. Santé Canada affirme également que le vapotage est beaucoup moins nocif que le tabagisme et que les fumeurs qui passent complètement au vapotage réduisent leur exposition aux produits chimiques nocifs présents dans la fumée de cigarette.

Bien que l'Association canadienne de vapotage (AAC) ne soit pas d'accord avec bon nombre des commentaires du député Ciccone, nous convenons que continuer à protéger les jeunes devrait être une priorité. Cependant, l'appel à l'action de monsieur Ciccone est imparfait et mal informé au mieux. On a constaté à maintes reprises que les taxes et les prohibitions des saveurs augmentaient les taux de tabagisme, affaiblissaient les protections de la jeunesse et exacerbent un marché noir en expansion rapide.

Les interdictions de saveurs sont une source de dommages irréparables pour les personnes qui fument et leurs familles. Le tabagisme demeure la principale cause de décès prématurés et de maladies au Québec. Chaque année, 13 000 Québécois meurent prématurément de causes liées au tabagisme. L'unique effort déployé visant à protéger les jeunes contre l'expérimentation néglige la santé des adultes qui fument. Les Canadiens ont le droit constitutionnel d'avoir accès à des produits efficaces pour réduire les dommages à leur santé. L'élimination des saveurs réduit l'efficacité du vapotage en tant que produit de réduction des méfaits tout en réduisant l'adoption du vapotage par les fumeurs adultes. Ces politiques nient la santé de millions de fumeurs dans le monde. Nous tenons à rappeler à M. Ciccone que le Québec a l'un des taux de tabagisme les plus élevés dans la région et quel'indignation devrait être axée sur le problème et non sur la solution.

Les taxes sur les produits de vapotage augmentent le tabagisme

De nombreuses études constatent que la taxe sur les produits de vapotage augmente les taux de tabagisme. La taxe sur les produits de vapotage doit être relative aux dommages, sinon les législateurs risquent d'accroître l'usage du tabac et de nuire à la santé publique. Le Dr Ian Irvine, professeur à l'Université Concordia à Montréal, affirme dans son rapport d'analyse fiscale qu'une taxe sur les produits de vapotage ne devrait pas dépasser 5 à 10 % de la taxe sur les cigarettes. Comme le Canada a déjà une taxe fédérale abrupte sur les produits de vapotage, l'ajout d'une taxe provinciale rendrait les produits de vapotage plus chers que le tabagisme pour certaines catégories de produits.

Une étude de Michael Pesko, chercheur à la Georgia State University, publiée dans le Journal of Risk and Uncertainty, a révélé que l'augmentation des taxes sur les produits de vapotage augmente la vente de tabac. Les résultats montrent que l'augmentation des taxes sur les produits de vapotage entraîne une augmentation correspondante et prévisible de l'utilisation de la cigarette. De même, l'augmentation des taxes sur les cigarettes stimule l'adoption des produits de vapotage. Contrairement aux études précédentes, les auteurs ont été en mesure de mesurer l'utilisation réelle des produits parce qu'ils ont pu accéder à des versions « géocodées » des ensembles de données d'enquête qu'ils utilisaient. Cela a permis d'évaluer très précisément les effets des changements fiscaux en étudiant des régions géographiques particulières et l'activité économique transfrontalière. En plus des sondages utilisés, les chercheurs ont eu accès aux données scannées de 35 000 détaillants.

Les chercheurs ont utilisé les données recueillies dans deux grandes enquêtes du gouvernement américain, le Behavioral Risk Factor Surveillance System (BRFSS) et la National Health Interview Survey (NHIS) et ont conclu que les cigarettes et les produits à base de vapeur sont des substituts économiques : si le prix d'un produit augmente, il provoque une augmentation de l'utilisation de l'autre. Dans les États où les prix des cigarettes étaient extrêmement élevés par rapport aux produits de vapotage, il n'y avait pas d'incitation de prix pour les utilisateurs de vape à passer à la cigarette. Cependant, là où les prix entre les deux produits sont devenus similaires avec la taxation, les chercheurs ont constaté que la taxation poussait les vapoteurs à fumer.

Dans un communiqué de presse discutant des résultats de la recherche, Pesko a déclaré: « Nous estimons que pour chaque capsule de cigarette électronique qui n'est plus achetée en raison d'une taxe sur les cigarettes électroniques, 6,2 paquets supplémentaires de cigarettes sont achetés à la place. L'impact sur la santé publique des taxes sur les cigarettes électroniques dans ce cas est probablement négatif.

De plus, une étude menée sur le Minnesota a révélé que les taxes sur les produits à base de vapeur augmentent les ventes de cigarettes. « L'impact des taxes E-cig sur les taux de tabagisme: Preuves du Minnesota », a révélé que la taxe sur les produits de vapotage entraînerait une augmentation de 8,1% de l'usage du tabac et une diminution de l'abandon du tabac de 1,4%. Il a également constaté que si les produits à base de vapeur n'avaient pas été taxés, 32 400 adultes supplémentaires auraient cessé de fumer.

Les produits de vapotage aromatisés favorisent l'abandon du tabac

Il existe des preuves très certaines que le vapotage est plus efficace que les produits de thérapie de remplacement de la nicotine pour arrêter de fumer. Une revue Cochrane, une revue systématique des 50 principales études sur l'efficacité du vapotage et reconnue à l'échelle internationale comme la norme la plus élevée en matière de soins de santé fondés sur des données probantes, a révélé que les fumeurs qui ont cessé de fumer avec le vapotage étaient presque deux fois plus susceptibles de réussir à cesser de fumer que ceux qui utilisaient d'autres produits comme les timbres et la gomme. L'efficacité du vapotage est largement attribuée à la personnalisation du produit. Contrairement à d'autres produits à base d'abandon du tabac, le vapotage n'est pas une approche universelle. L'augmentation des taux d'abandon du tabac est attribuée aux options adaptées qui s'offrent aux fumeurs. L'abondance des types de livraison, des saveurs et des options de nicotine rend le vapotage efficace pour un plus grand nombre de fumeurs que les produits d'abandon traditionnels. De tous ces facteurs personnalisables, les saveurs ont été identifiées comme le principal moteur du succès de l'adoption et de l'abandon du tabagisme chez les adultes.

Dans la Gazette du Canada, Partie 1, vol. 155, no 25, Santé Canada reconnaît le rôle des arômes pour l'adoption et l'abandon du vapotage chez les fumeurs adultes :

De plus, un rapport d'enquête auprès des consommateurs, Intitulé Canadian vapers: Attitudes Towards Flavour, a révélé que :

L'expérimentation chez les jeunes ne justifie pas le rejet de centaines de de milliers de déclarations concernant l'importance des saveurs pour cesser de fumer et la science émergente. Les arômes qui aident à cesser de fumer ne sont pas un phénomène propre aux produits à base de vapeur. La recherche sur les thérapies de remplacement de la nicotine (TRN) révèle que les saveurs réduisent les fringales et augmentent les taux de réussite.

Contrairement aux restrictions sur les saveurs proposées, tous les produits de TRN orales sont offerts avec des saveurs. Ces produits sont disponibles sur les tablettes des pharmacies et des épiceries et n'ont aucune exigence de vérification de l'âge.

Les politiques proposées augmenteront la criminalité et affaibliront les mesures de protection de la jeunesse

La facilité de fabrication et d'importation de produits de vapotage illicites, jumelée à la demande qui sera créée pour les produits aromatisés non taxés, rend les produits de vapotage attrayants pour la contrebande. Ces canaux se sont déjà considérablement développés à la suite de la mise en oeuvre de la limite fédérale de concentration de nicotine de 20 mg/mL. L'Association canadienne de vapotage a clairement décrit et mis en garde tous les gouvernements du pays contre l'expansion rapide du marché illicite. Les produits de vapotage sont incroyablement simples à fabriquer et les politiques proposées par le membre Ciccone se traduiront par un marché noir florissant.

Un sondage auprès des consommateurs a révélé que la moitié des vapoteurs interrogés prévoient continuer d'utiliser un produit aromatisé même s'ils sont interdits. Cela démontre la facilité avec laquelle les produits de vapotage de contrebande peuvent être obtenus et l'absence d'application de la loi pour étouffer ces canaux.

Comme c'est le cas pour toute substance contrôlée, les jeunes sont particulièrement sensibles au marché noir et l'absence de réglementation contourne les exigences en matière d'âge, d'étiquetage et de publicité. Si d'autres produits pour adultes étaient réglementés conformément aux préoccupations concernant la consommation de vape au cours des 30 derniers jours, le cannabis et l'alcool nécessiteraient de sévères restrictions, car la prévalence de la consommation quotidienne et au-delà de 30 jours est supérieure à celle du vapotage à la nicotine. L'alcool est considérablement plus nocif que le vapotage à la nicotine et, bien que la consommation soit plus répandue que le vapotage chez les jeunes, les restrictions de saveur n'ont pas été prises en compte. C'est probablement parce que, comme le vapotage, les jeunes ne consomment pas d'alcool pour les saveurs.

Toutes les substances contrôlées sont connues pour avoir un effet négatif sur le développement du cerveau, mais l'alcool comporte de plus grands risques externes tels que les accidents de voiture, les chutes, la noyade, le suicide, la violence et peut conduire à être victime de crimes violents. Étant donné que l'alcool est connu pour causer le cancer et que sa consommation chez les jeunes est plus du double de celle du vapotage, nous demandons au député Ciccone pourquoi il n'exhorte pas ses collègues à interdire la vodka à saveur de gâteau d'anniversaire ou les jujubes oursons au cannabis?

La réponse est probablement parce que les politiques de prohibition sont inefficaces et érodent la protections de la jeunesse, un résultat qui a été observé dans de nombreuses régions. Récemment, l'Australie a annoncé qu'elle reviendront sur son interdiction des produits de vapotage pour mettre fin au marché noir et réduire l'expérimentation chez les jeunes. « La prohibition a échoué une fois de plus. L'interdiction des vapes à la nicotine n'a fait que créer un marché noir florissant qui donne aux enfants un accès facile aux produits à base de nicotine », a déclaré Cate Faehrmann, porte-parole de Greens Santé. Nous encourageons le Membre Ciccone à s'entretenir avec Mme Faehrmann ou d'autres décideurs pour comprendre les dommages prouvés des politiques prohibitionnistes.

Le Québec n'a même pas besoin de regarder à l'extérieur du Canada pour obtenir des conseils pour comprendre les impacts. La combinaison d'une interdiction des arômes et d'une augmentation de la taxation a déjà été mise en oeuvre en Nouvelle-Écosse. En 90 jours, l'industrie légale a été décimée et remplacée par le marché noir. La Nouvelle-Écosse n'a pas encore produit de données suggérant que ces politiques ont eu un effet sur la réduction du vapotage chez les jeunes.

La solution

Comme Member Ciccone l'a correctement déclaré dans son discours, il n'est pas un scientifique ou un expert de la santé. Il est préférable de laisser les recommandations sur le vapotage ou toute politique de santé publique aux experts en la matière et aux universitaires qui reconnaissent la valeur du vapotage pour la société et les complexités liées à sa réglementation. Bien que le CVA ne soit pas d'accord avec certaines des 7 recommandations, d'autres sont raisonnables, pratiques et se sont avérées efficaces dans d'autres régions.

Le Québec devrait mettre en oeuvre des permis plus solides pour les magasins de vapotage spécialisés en utilisant les organismes municipaux de santé publique. Être en mesure d'identifier les points de vente de vapotage est la première étape pour enchaîner de manière cohérente les réglementations et mener des programmes de clients mystère.

De plus, l'interdiction d'ouvrir de nouveaux magasins de vapotage à une distance raisonnable des écoles est une recommandation pratique qui réduirait la visibilité et les incitations à la vape d'atteindre les jeunes. L'AVC appuierait cette recommandation si le Québec choisissait de la mettre en oeuvre.

Le Canada compte actuellement l'un des règlements de protection de la jeunesse les plus solides et les plus équilibrés au monde. Au lieu d'interdire les saveurs et d'augmenter les taxes, le Québec devrait chercher à travailler avec le gouvernement fédéral et les administrations municipales pour renforcer les efforts d'application de la loi. Dans le cadre du Tobacco and Vaping Products Act (TVPA), Santé Canada demande la formation d'un tel groupe de travail.

Les jeunes qui essaient de vapoter citent le plus souvent le stress comme raison du vapotage. Les jeunes ont désespérément besoin d'un meilleur accès à des mesures de soutien en santé mentale et de plus d'éducation sur les dangers du vapotage chez les jeunes. L'éducation est l'une des méthodes les plus efficaces pour lutter contre l'expérimentation des jeunes. Selon Santé Canada, 26 % des jeunes exposés à de la publicité éducative pour le vapotage décident de ne pas essayer de vapoter.

En ce qui concerne la recommandation d'augmenter les taxes, le prix des produits de vapotage a déjà fait l'objet d'une augmentation substantielle en raison de la taxe d'accise fédérale. L'objectif déclaré de cette taxe était de dissuader les jeunes sensibles aux prix d'essayer de vapoter. Il suffit de regarder l'industrie réglementée du cannabis pour voir que des niveaux élevés de taxation n'ont pas dissuadé les jeunes qui consomment du cannabis. Les jeunes ne se soucient pas de savoir si la source de leur approvisionnement est légale. La taxation brutale n'a pas eu un effet dissuasif sur les jeunes, mais elle a rendu extrêmement difficile pour les producteurs de cannabis légaux de concurrencer le marché noir.

Au lieu de mettre en oeuvre sa propre taxe provinciale, le Québec devrait chercher à conclure une entente de partage des revenus avec le gouvernement fédéral et à utiliser ces fonds pour accroître l'application de la loi, l'éducation et le soutien en santé mentale pour les jeunes.

Conclusion

Des milliers de vapoteurs québécois exigent que les députés prennent le temps de comprendre l'enjeu et l'importance des produits de vapotage pour ceux qui en dépendent pour demeurer exempts de tabac combustible. Ceux qui ont été élus pour représenter les intérêts de tous leurs électeurs doivent faire mieux. Ce n'est pas un choix entre protéger les jeunes ou réduire le tabagisme. Nous pouvons faire les deux. Pour faire les deux, nos élus doivent s'engager auprès de leurs électeurs pour vraiment comprendre le problème et ne pas simplement voter oui à des solutions politiquement pratiques qui ont un impact sur la santé de milliers de Québécois. Les vapoteurs ne sont pas hyperboliques lorsque des pancartes de protestants leur disent que leur vie est en jeu; fumer tue la moitié de ses utilisateurs. Le vapotage fait partie de la solution pour réduire le tabagisme et la maladie. L'industrie de la vape partage l'objectif du membre Ciccone de protéger la santé des Québécois, y compris les jeunes, mais la politique doit tenir compte de la santé de chaque citoyen.

Si le Québec poursuit sur cette voie insensée, l'Association canadienne de vapotage et l'industrie intenteront une contestation judiciaire. L'industrie défendra toujours le droit des Canadiens d'avoir accès à des produits efficaces de réduction des méfaits.

Contact - Darryl Tempest, Government Relations Counsel to the CVA Board, [email protected] 



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