Le Lézard
Classé dans : L'environnement, Science et technologie
Sujets : Enjeux environnementaux, FVT

Photographies, films et expériences immersives de réalité augmentée à couper le souffle : Anthropocène ouvre ses portes vendredi à Ottawa


OTTAWA, le 26 sept. 2018 /CNW/ - Anthropocène, la nouvelle exposition multimédia à l'affiche au Musée des beaux-arts du Canada du 28 septembre 2018 au 24 février 2019, est le fruit d'une collaboration audacieuse de quatre ans entre le célèbre photographe Edward Burtynsky et les réalisateurs primés Jennifer Baichwal et Nicholas de Pencier. L'exposition, qui fait appel à la technologie actuelle la plus en pointe, allie film, photographie, réalité augmentée (RA) et recherche scientifique pour dresser un saisissant panorama de l'empreinte dévastatrice que laisse l'humanité sur la planète.

Pour Marc Mayer, directeur général du Musée des beaux-arts du Canada, « la photographie fait partie des inventions les plus transformatrices des temps modernes. Cette exposition novatrice élève cette technique à un autre niveau grâce à l'utilisation de la technologie immersive. À travers un ensemble spectaculaire de photographies, de films et d'installations en réalité augmentée sans précédent, nous sommes invités à explorer les conséquences de notre mode de vie moderne et à y réfléchir. »

Fort de ses 66 mètres de haut, 12 mètres de circonférence et une canopée s'étendant sur 18,3 mètres, « Big Lonely Doug », le deuxième plus gros Douglas vert au Canada, est transporté par les artistes, depuis son habitat d'origine (une coupe à blanc de l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique), jusque dans le Grand Hall Banque Scotia du Musée. L'arbre âgé de 1000 ans, restitué quasiment en grandeur nature, domine les visiteurs qui se dirigent vers l'entrée de l'exposition. Cette installation en RA est rendue possible grâce à une application développée spécialement à cet effet.

Les visiteurs se retrouvent ensuite nez à nez avec Sudan, dernier rhinocéros blanc du Nord mâle mort en mars 2018 à l'Ol Pejeta Conservancy au Kenya, ramené ici à la vie grâce à une image en 3D générée par l'application. Une troisième installation en RA, soit le plus grand tas d'ivoire d'éléphants braconnés, représentant 6 000 à 7 000 individus, incinéré le 30 avril 2016 dans le parc national de Nairobi, au Kenya, est également restitué presque grandeur nature et accessible aux visiteurs munis de leur téléphone intelligent ou de leur tablette.

« Nombreux sont les gens qui se servent aujourd'hui de leur téléphone cellulaire pour interagir avec le monde », rappelle Andrea Kunard, conservatrice associée à l'Institut canadien de la photographie du Musée des beaux-arts du Canada et commissaire de l'exposition au Musée. « Nous avons voulu intégrer cette notion d'expériences  vécues au contexte d'un musée des beaux-arts. L'inclusion de nouvelles technologies photographiques dans l'exposition permet ainsi d'enrichir l'expérience du visiteur. »

Le public découvrira également un mur interactif où sont projetés neuf étonnantes séquences de Baichwal et de Pencier abordant différents sujets, comme l'immense site d'enfouissement à Nairobi, au Kenya, une procession apparemment sans fin de trains transportant du charbon au Wyoming et le blanchissement corallien dans la Grande barrière de corail en Australie. Des capsules vidéos, créés par Baichwal et de Pencier, sont également activables par l'application pour expérimenter pleinement les photographies monumentales en haute définition d'Edward Burtynsky.

L'exposition s'inscrit dans un projet plus vaste qui comprend le documentaire ANTHROPOCÈNE : l'époque humaine, présenté en première mondiale au TIFF 2018 et qui sera projeté en première à Ottawa au Musée des beaux-arts du Canada le 27 septembre 2018, ainsi qu'un livre d'art publié par Steidl et vendu à la Boutique du Musée. Anthropocène est basée sur les recherches de l'Anthropocene Working Group, regroupement international de scientifiques qui s'emploient à déterminer si la Terre a quitté la période holocène pour entrer dans une nouvelle ère géologique, l'Anthropocène. L'exposition est complétée par un programme éducatif conçu par le Musée, qui explore les questions soulevées dans les photographies, films et installations en RA, et comprend une zone interactive où les visiteurs peuvent en apprendre davantage sur le projet Anthropocène et faire part de leurs commentaires sur un mur de médias sociaux à propos de ce qu'ils ont vu et expérimenté. Comme Burtynsky le souligne lui-même, « l'oeuvre pose plus de questions qu'elle n'apporte de réponses, et c'est la raison d'être des artistes ».

Pour profiter pleinement de l'exposition, les visiteurs du Musée des beaux-arts du Canada sont invités à télécharger avant leur visite l'appli gratuite AVARA, accessible sur Google Play et sur l'Apple App Store. L'application doit être utilisée pour activer chacune des installations en RA, les expériences interactives et les capsules vidéo en lien avec les murales en haute définition. Des iPad avec l'appli déjà installée seront également mis à disposition dans les salles d'exposition.

Anthropocène est organisée par l'Institut canadien de la photographie du Musée des beaux-arts du Canada et le Musée des beaux-arts de l'Ontario (AGO), et coproduite avec la Fondazione MAST de Bologne, en Italie. Une exposition parallèle est présentée à l'AGO à Toronto du 28 septembre 2018 au 6 janvier 2019. Ces expositions complémentaires constituent une expérience doublement enrichissante, avec des oeuvres majeures exposées dans chacune des deux institutions.

L'exposition est présentée au Musée des beaux-arts du Canada avec le soutien généreux de la Banque Scotia, partenaire fondateur de l'Institut canadien de la photographie, et TELUS, partenaire du projet.

Suivez #AnthropoceneProject pour les mises à jour.

Publications
L'exposition s'accompagne d'un catalogue illustré publié par le Musée des beaux-arts de l'Ontario. Les éditions en français et en anglais sont proposées à un prix spécial de 30 $, exclusif au Musée des beaux-arts du Canada, à la Boutique et en ligne à AchatsMBAC.ca.

Le livre Anthropocene, publié par Steidl (224 pages, relié en toile, couverture rigide, disponible en anglais seulement), comprenant des photographies d'Edward Burtynksy, des essais des trois artistes et des poèmes de Margaret Atwood commandés pour l'occasion, est vendu à la Boutique et en ligne à AchatsMBAC.ca au prix de 127,50 $.

Avant-première réservée aux membres
Le 26 septembre, de midi à 17 h, les membres du Musée auront un accès exclusif à l'exposition. Dans les salles d'art contemporain. Pour en savoir plus sur l'adhésion au MBAC, visitez beaux-arts.ca.

Vernissage de l'exposition
Le public est invité à participer au vernissage officiel de l'exposition le mercredi 26 septembre à compter de 18 h dans le Grand Hall Banque Scotia du Musée des beaux-arts du Canada. Entrée libre.

Projection du film
La première ottavienne de la présentation du film ANTHROPOCÈNE : l'époque humaine, réalisé par Jennifer Baichwal, Nicholas de Pencier, Edward Burtynsky (2018, 87 minutes), suivie d'une discussion avec les artistes et la commissaire, organisée le jeudi 27 septembre, affiche complet.

Série Rencontre avec l'expert :
Andrea Kunard - L'art dans l'Anthropocène Le samedi 29 septembre de 13 h 30 à 14 h 30, venez entendre Andrea Kunard, conservatrice associée à l'Institut canadien de la photographie du Musée des beaux-arts du Canada et co-commissaire d'Anthropocène, expliquer comment l'art et le musée peuvent nous aider à comprendre les questions pressantes de notre temps, à y réfléchir et à agir. En anglais avec période de questions bilingue.

David Jaclin - L'anthropos de la (s)cène... Quelle humanité pour cette nouvelle ère géo-climatique?
Le samedi 3 novembre de 13 h 30 à 14 h 30, David Jaclin, professeur d'études sociologiques et anthropologiques à l'Université d'Ottawa, nous entraîne dans une exploration du concept d'anthropos (terme grec pour « humain ») : « Si l'Anthropos est effectivement à l'origine d'une nouvelle ère géologique, alors nous devrions nous demander quel est cet humain dont nous parlons, à quel concept d'humanité le mot renvoie, et comment nous déterminons les responsabilités et pouvoirs, les problèmes et les solutions. » En français avec période de questions bilingue.

Heather Davis - Queer Futures (Alterfuturs)
Le samedi 24 novembre de 13 h 30 à 14 h 30, venez écouter Heather Davis, professeure adjointe de culture et médias à la New School à New York, nous faire part de certaines des conséquences étranges et inattendues de la crise environnementale actuelle, de la naissance de nouveaux organismes à la réinvention des paysages saccagés. S'appuyant sur les nouveaux travaux d'Edward Burtynsky, Jennifer Baichwal et Nicholas de Pencier, la causerie se penchera sur la façon dont les artistes abordent les nouvelles écologies de l'Anthropocène. En anglais avec période de questions bilingue.

Sean Kheraj - L'infrastructure de l'Anthropocène au Canada. Le développement du pipeline pétrolier au XXe siècle
Le samedi 23 février 2019 de 13 h 30 à 14 h 30, Sean Kheraj, professeur agrégé en histoire canadienne et environnementale à la York University, revient sur l'histoire de la création des premiers oléoducs transcontinentaux au Canada et sur leur expansion et croissance ultérieure de la fin des années 1940 jusqu'au milieu des années 1970, alors que le pays s'engageait dans cette transition énergétique conséquente. En anglais avec période de questions bilingue.

Série de conférences
Aperçu de l'exposition
Le mercredi 23 janvier 2019, de 10 h 30 à midi, Andrea Kunard, conservatrice associée à l'Institut canadien de la photographie du Musée des beaux-arts du Canada et co-commissaire d'Anthropocène, présentera un aperçu de l'exposition. En anglais avec période de questions bilingue. Billet seul : 12 $ (8 $ pour les membres); billet pour la série de conférences : 60 $ (40 $ pour les membres).

Visites de groupes
Du 1er octobre 2018 au 22 février 2019, découvrez comment les activités humaines transforment notre planète à travers une sélection de photographies grand-format interactives et des installations de réalité augmentée. Des iPads seront mis à disposition pour l'interaction en réalité augmentée. Prix : 8 $ par adulte en plus du droit d'entrée.

Heures d'ouverture
Jusqu'au 30 septembre 2018, le Musée est ouvert tous les jours de 10 h à 18 h, et le jeudi, de 10 h à 20 h. À compter du 1er octobre 2018, le Musée sera ouvert du mardi au dimanche, de 10 h à 17 h, et le jeudi de 10 h à 20. Des exceptions s'appliquent aux jours fériés. Sous réserve de modifications sans préavis. Pour de plus amples renseignements, consultez beaux-arts.ca/heures d'ouverture.

Droits d'entrée
L'entrée à l'exposition est comprise dans les droits d'entrée du Musée: 15 $ pour les adultes, 13 $ pour les aînés et 7 $ pour les 24 ans et moins et les étudiants à temps complet, 30 $ pour les familles (2 adultes, 3 enfants, 17 ans et moins). Entrée libre en tout temps pour les Membres du Musée et les moins de 11 ans. Pour en savoir davantage, visitez beaux-arts.ca/heures d'ouverture et droits d'entrées.

Boutique
Le catalogue de l'exposition sera en vente à la Boutique, permettant aux visiteurs de revoir leurs chefs-d'oeuvre préférés encore et encore. Également en vente en ligne, à AchatsMBAC.ca. Ouverture à 10 h tous les jours. Remise de 15 % pour les membres.

Magazine MBAC
Le MagazineMBAC.ca est une source d'information en ligne magnifiquement illustrée sur le monde de l'art canadien et international et sur les activités et la programmation du Musée des beaux-arts du Canada. Ce magazine présente des articles sur les expositions à venir et les expositions itinérantes, les coulisses, des profils d'artistes, des critiques de livres et des entrevues. Ce mois-ci, lisez Le questionnaire de Proust : Edward Burtynsky. Le Magazine MBAC est gratuit et publié ici. Abonnez-vous à l'Infolettre du Magazine du Musée ici.

Branchez-vous
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À propos des artistes

Edward Burtynsky est l'un des photographes les plus respectés internationalement. Ses représentations photographiques remarquables des paysages industriels du monde entier figurent dans les collections de plus de soixante grands musées de la planète, dont le Musée des beaux-arts du Canada, le Museum of Modern Art et le Guggenheim Museum à New York, le Museo Reina Sofía à Madrid, ainsi que le Los Angeles County Museum of Art en Californie. Dans ses images, il explore l'imposition des systèmes humains sur le territoire.

Parmi les honneurs reçus par Burtynsky, notons le prix TED, le prix Hors les murs aux Rencontres d'Arles, le Prix du livre de photographie Roloff-Beny et le Prix Rogers du meilleur film canadien. Il siège au conseil d'administration du festival de photo CONTACT Banque Scotia et de la Ryerson Gallery and Research Center, et il est le cofondateur du Prix de photographie Banque Scotia. En 2006, il a reçu le titre d'Officier de l'Ordre du Canada et en 2016, le Prix du Gouverneur général en arts visuels et arts médiatiques. Burtynsky est actuellement titulaire de sept doctorats honorifiques. En 2003, le Musée des beaux-arts du Canada a organisé et mis en tournée la première rétrospective de son oeuvre, Paysages manufacturés.

Jennifer Baichwal réalise et produit des documentaires depuis plus de vingt ans. Ses films ont été présentés dans le monde entier et ont gagné des récompenses sur le plan national comme international. Let It Come Down: The Life of Paul Bowles a remporté un International Emmy Award en 1999. The Holier It Gets a été désigné meilleur film canadien à Hot Docs en 1999 et a reçu trois Prix Gemini. Paysages manufacturés, qui traite du travail d'Edward Burtynsky en Chine, est sorti en salle dans douze pays et a gagné de nombreux prix internationaux, dont celui de meilleur long-métrage canadien au TIFF en 2006. Act of God, portant sur les effets métaphysiques de l'électrocution par la foudre, a ouvert le festival du film Hot Docs en mai 2009. La dette, une adaptation de la conférence Massey de Margaret Atwood, produit par Ravida Din et l'Office national du film, a été présenté en première en compétition au Sundance Film Festival en janvier 2012 et est sorti au Canada et aux États-Unis le printemps suivant. Watermark (coréalisé par Edward Burtynsky, produit et filmé par Nicholas de Pencier) a été dévoilé au Festival international du film de Toronto en septembre 2013, et a remporté le prix du meilleur film canadien 2014 remis par l'Association des critiques de films de Toronto et le prix du meilleur documentaire 2014 aux Canadian Media Awards. 

Nicholas de Pencier est réalisateur, producteur et directeur de la photographie. Il travaille en documentaire, performance et cinéma de fiction. En tant que producteur et directeur photo, il a travaillé sur Let It Come Down: The Life of Paul Bowles (International Emmy Award), The Holier It Gets (meilleur film canadien, Hot Docs), The True Meaning of Pictures (Gemini, Best Arts), Hockey Nomad (Gemini, Best Sports), Paysages manufacturés (meilleur long-métrage canadien, TIFF; Genie, meilleur documentaire), Act of God (gala d'ouverture, Hot Docs) et Watermark (projection spéciale, TIFF et Berlin, prix du meilleur film canadien 2014 de l'Association des critiques de films de Toronto et prix Écrans canadiens, meilleur documentaire). En 2010, il a filmé l'adaptation documentaire de La dette, sélectionné pour Sundance 2012 et sorti en salle la même année au Canada et aux É.-U. De Pencier a été admis comme membre de plein droit à la Canadian Society of Cinematographers en 2012.

Plus récemment, Baichwal et de Pencier se sont consacrés à l'installation vidéo, produisant du contenu pour les tournées Fully Completely et Man Machine Poem de Tragically Hip (2014/2016), et collaborant avec les Rheostatics pour Music Inspired by the Group of Seven à l'AGO (2015). Leur dernière installation, Ice Forms, a été présentée dans le cadre de The Idea of North: The Paintings of Lawren Harris, également à l'AGO. Baichwal et de Pencier ont dernièrement terminé Long Time Running, un long métrage documentaire sur la tournée pancanadienne 2016 de Tragically Hip, projeté en première au TIFF, et actuellement dans les salles et sur les écrans.

À propos de l'Institut canadien de la photographie
L'Institut canadien de la photographie du Musée des beaux-arts du Canada est un centre de création et d'innovation qui se consacre à la diffusion, au collectionnement et à la remise en question de la photographie sous toutes ses formes. Il réunit personnes et collectivités au Musée, en ligne et autour de publications pour observer, découvrir et étudier la photographie. L'Institut canadien de la photographie a été créé en 2015 et inauguré officiellement en octobre 2016. Sa collection a été constituée à partir de la collection de photographies du Musée des beaux-arts du Canada. L'Institut bénéficie du soutien exceptionnel de son partenaire fondateur, la Banque Scotia, du fonds Archive of Modern Conflict et de la Fondation du Musée des beaux-arts du Canada. Pour de plus amples renseignements, visitez beaux-arts.ca/icp.

À propos du Musée des beaux-arts du Canada
Le Musée des beaux-arts du Canada abrite la plus importante collection d'oeuvres d'art ancien et actuel canadien au monde. En outre, il réunit la plus prestigieuse collection d'art européen du XIVe au XXIe siècles au Canada, d'importantes oeuvres d'art indigène, américain et asiatique ainsi qu'une collection mondialement réputée d'estampes, de dessins et de photographies. Fondé en 1880, le Musée des beaux-arts du Canada joue un rôle clé sur la scène culturelle canadienne depuis plus d'un siècle. L'une de ses principales missions consiste à accroître l'accès à l'excellence en matière d'oeuvres d'art pour tous les Canadiens. Pour de plus amples renseignements, visitez beaux-arts.ca et suivez-nous sur Twitter sur @MBACanada, YouTube, Facebook, et Instagram.

À propos du Musée des beaux-arts de l'Ontario
Situé à Toronto, la plus grande ville canadienne avec ses 6,5 millions d'habitants, le Musée des beaux-arts de l'Ontario (AGO) est l'un des plus importants du genre en Amérique du Nord. La collection de l'AGO regroupe près de 95 000 oeuvres, qui vont de l'art contemporain le plus avant-gardiste, comme Sans titre, de Pierre Huyghe, à des chefs-d'oeuvre européens, comme Le massacre des innocents, de Pierre Paul Rubens, en passant par la vaste collection consacrée au Groupe des Sept et des oeuvres d'artistes autochtones canadiens établis et de la relève. On y trouve également une collection de photographies qui retrace l'évolution de la technique, avec des fonds importants d'oeuvres d'artistes tels Garry Winogrand et Diane Arbus. Elle compte en outre des collections thématiques, telles des miniatures en buis gothiques et des oeuvres d'art d'Afrique centrale et occidentale. En travaillant à partir de ce riche patrimoine, et à travers des collaborations avec des musées du monde entier, l'AGO propose un vaste éventail d'expositions et de programmes, avec le souci de présenter les créations d'artistes de la diversité et de groupes sous-représentés. Un agrandissement majeur, conçu par Frank Gehry et construit en 2008 avec l'appui notable de la famille de Ken Thomson, fait aujourd'hui de l'AGO un emblème architectural très prisé des amateurs de photographie. Visitez ago.ca et suivez @AGOToronto pour en savoir plus.

À propos de la Fondazione MAST
Institution sans but lucratif créée en 2013 à Bologne, en Italie, la Fondazione MAST a été conçue afin de mettre en place un centre culturel (MAST) visant à promouvoir le bien-être en entreprise et en société, à encourager la créativité chez les jeunes générations en proposant des programmes éducatifs pour enfants, adolescents et adultes et à soutenir des projets liés à la photographie. La collection MAST comprend plus de 3000 oeuvres qui relatent l'histoire de la photographie et témoignent de l'extraordinaire importance de l'industrie et du travail à travers leur évolution entre la fin du XIXe siècle et aujourd'hui. La PhotoGallery est un espace d'exposition imaginé par Urs Stahel où sont présentés des projets individuels et collectifs de photographes reconnus ou de jeunes talents. La Fondazione MAST organise également la Foto/Industria, biennale de photographie sur l'industrie et le travail, qui a fêté en 2017 sa troisième édition avec 14 expositions.

 

SOURCE Musée des beaux-arts du Canada


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