La vice-première ministre souligne l'ouverture de la 24e Conférence de Montréal

MONTRÉAL, le 11 juin 2018 /CNW Telbec/ - La vice-première ministre, ministre de l'Économie, de la Science et de l'Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique, M^me Dominique Anglade, a présidé aujourd'hui le déjeuner d'ouverture de la 24^e Conférence de Montréal, qui est organisée par le Forum économique international des Amériques et qui se déroule jusqu'au 14 juin.

La vice-première ministre a profité de cette occasion pour exposer la vision du Québec sur les grands enjeux mondiaux contemporains. Les accords commerciaux, le multilatéralisme, la présence accrue de l'Asie sur la scène internationale, l'évolution numérique, l'intelligence artificielle, la mobilité de la main-d'oeuvre et des étudiants et la lutte contre les changements climatiques constituent des sujets d'actualité qui font partie du  quotidien de la population québécoise.

Tant sur son propre territoire que sur la scène internationale, le Québec entend continuer d'être à l'avant-garde. Le gouvernement du Québec a choisi de passer à l'action en proposant des politiques économiques et publiques pour faire face à ces défis mondiaux. Sa politique internationale énonce ainsi de grandes orientations pour favoriser le rayonnement du Québec et son développement sur les plans commercial, culturel, économique, politique et social.

La Conférence de Montréal, haut lieu de libre discussion, permet cette semaine d'accueillir au Québec des chefs d'États et de gouvernements étrangers, des gens d'affaires, des spécialistes, des chercheurs et des membres de la société civile. Cette année, le gouvernement du Québec contribue au programme proposé par le biais d'ateliers sur la mobilité internationale et la compétitivité, l'intelligence artificielle, les femmes et la nouvelle diplomatie, ainsi que l'entrepreneuriat numérique et les occasions d'affaires dans l'espace francophone, et plus particulièrement en Afrique.

Citations :

« Notre gouvernement est fier de participer à la 24^e Conférence de Montréal, durant laquelle nous démontrons encore une fois que le Québec suit un plan rigoureux afin d'assurer sa prospérité. Nous sommes déterminés non seulement à continuer d'être à l'avant-garde dans des domaines d'activité porteurs en matière de création d'emplois et de richesse collective, comme l'intelligence artificielle, mais aussi à occuper une place de plus en plus importante dans d'autres secteurs innovants. Nous poursuivons par ailleurs nos efforts afin que nos entreprises puissent tirer leur épingle du jeu dans cette nouvelle ère de prospérité et pour que le Québec se développe en misant sur l'innovation et le développement durable. »

Dominique Anglade, vice-première ministre, ministre de l'Économie, de la Science et de l'Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique

« La Conférence de Montréal est un événement d'envergure qui se veut représentatif de la diversité d'acteurs évoluant en relations internationales. Sa réputation contribue assurément au rayonnement du Québec. Cette 24^e édition est d'autant plus intéressante que la qualité et la variété des sujets discutés touchent directement à plusieurs priorités du gouvernement du Québec à l'international. »

Christine St-Pierre, ministre des Relations internationales et de la Francophonie

Faits saillants :

• Créé en 1994 par M. Gil Rémillard, le Forum économique international des Amériques s'articule autour de quatre grandes conférences annuelles : la Conférence de Montréal, le Toronto Global Forum, le World Strategic Forum (Miami) et la Conférence de Paris.
• Pour en savoir plus à propos du volet gouvernemental du programme de la Conférence, veuillez consulter la section à ce sujet sur le site Web du Forum économique international des Amériques.
• Le gouvernement du Québec est un important partenaire de la Conférence de Montréal, et ce, depuis sa toute première édition.

SOURCE Cabinet de la vice-première ministre, ministre de l'Économie, de la Science et de l'Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique