Le Lézard
Sujets : Politique intérieure, Sécurité publique, CFG

Du soutien fédéral pour une étude à l'Université Ryerson afin de contrer la radicalisation conduisant à la violence


TORONTO, le 20 févr. 2018 /CNW/ - Aujourd'hui, Michael Levitt, député de York-Centre, au nom de l'honorable Ralph Goodale, ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, a annoncé le versement de près de 546 000 dollars, en provenance du Fonds pour la résilience communautaire, destinés à une initiative de recherche visant à évaluer différentes approches pour lutter contre la radicalisation menant à la violence au Canada.

L'Université Ryerson a reçu un financement sur deux ans pour son projet qui vise à établir des partenariats canadiens pour contrer l'extrémisme violent. Par l'étude de trois initiatives multiorganisationnelles canadiennes distinctes, ce projet permettra de mettre au point des méthodes innovantes pour mesurer ce qui fonctionne le mieux dans la lutte contre la radicalisation menant à la violence. Les conclusions contribueront à améliorer les ressources ainsi que la formation de ceux qui travaillent directement auprès de personnes radicalisées.

Le Fonds pour la résilience communautaire est administré par le Centre canadien d'engagement communautaire et de prévention de la violence, qui contribue à honorer l'engagement de Sécurité publique Canada à prévenir la radicalisation conduisant à la violence.

Citations
« La radicalisation menant à la violence est un problème complexe, et les meilleurs résultats sont obtenus lorsque collaborent des spécialistes de différents horizons. Cette initiative permettra de mettre en lumière le travail essentiel de lutte contre la radicalisation qui s'accomplit à l'échelon local et d'améliorer la mise en commun de solutions efficaces pour contrer ce phénomène. Des programmes innovateurs de ce genre renforceront les partenariats qui favorisent la sécurité et l'inclusivité des communautés au Canada. »

- Michael Levitt, député de York-Centre

« Cette recherche appliquée est axée sur les communautés et vise à mieux comprendre les déclencheurs, les critères et les obstacles au signalement de la participation d'un proche ou d'un ami à une activité extrémiste violente présumée dans le spectre idéologique, politique et social. Elle permettra d'orienter le travail des gouvernements et des communautés et d'aider celles-ci à faire confiance aux autorités et à ne pas hésiter à leur signaler certaines trajectoires. »

- Sara Thompson (Ph. D.), professeure agrégée, département de criminologie, Université Ryerson

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SOURCE Sécurité publique et Protection civile Canada



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